L'arrivée

Le village caché du royaume de la terre, symbole de la paix qui aurait pu régner en ces lieux, mais hélas, ce n'était que le rêve illusoire d'une tranquillité. Enfin c'est comme cela que certains le décrivaient. Yaéden marchait d'un pas lent, bien que décidé, il n'avait pas trop envie de faire l'intéressant, cachant son bras droit sous son habit rouge. La brume se levait petit à petit et déjà on entendait chanter les oiseaux, le village s'éveillait petit à petit, au même rythme que les pas de Yaéden.

Le vent léger s'engouffrait dans son manteau rouge, lui donnant l'aspect d'un fantôme, un instant de mélancolie, de souvenir, Yaéden prit une flûte sculptée qu'il avait ramenée de son voyage, et commença à jouer une musique étrange dont on aurait eu du mal à en discerné le sens. Le son de la flûte rebondissait sur les murs des maison et l'écho rendait à la musique sa beauté.

Yaéden s'arrêta à la première place qu'il trouva, s'assit sur un rocher et continua de jouer en fermant les yeux.

Le monde avait bien changé depuis son départ...

"Je suis heureux d'être de retour, même si je ne me sens plus réelement chez moi"

Yaéden était assis sur une pierre blanche surment de la craie, car ses habits en était blanchis pas le contacte, il avait retiré ses botte et son haut, désormais torse nu, il détacha ses cheuveux les laissant en proie aux jeux du vent, puis de sa main gauche il attrapa unesorte de flute traversière, et commença à jouer.

Tandis qu'il posait délicatement ses doig sur les différents orifices de l'instrument, la nature séveilla, les jeune bourgeon souvrire les herbe pousserent, les arbres se parèrent de leur plus beau feuillage. La mélodie ne faisait qu'un avec le vent, si bien que tout être humain qui en aurait été témoin aurais senti comme une vague de chaleur, de vie, de bonheur, de ses yeux des larmes aurait coulé de ses yeux, reflettent l'émotion qu'elle inspirait. Pourtant elle n'avait rien de joyeuse cette mélodie, elle racontait la mort, les guerres, l'amour d'une femme pour un homme qui lui avait été enlevé, les pleure d'une mère, elle comptait l'histoire d'une femme amoureuse qui avait vus son amour partir deffendre son village, et n'était jamais revenu, la soufrence qu'elle avait enduré sans sa présence, la peine qui l'avait tuer quand le dernier souvenir de ce temps, quand son unique fils fut tuer en partant proteger sa famille, tant de chagins, provoqué par le combat et la mort.

Yaéden était de ceux qui ne supportais les guéguerres, au plus profond de lui même il haissait celà, un jour lui aussi allait devoir prendre les armes, mais cette fois ci, ce serai pour proteger le monde de sa bétise...

il stopa net la mélodie, ses yeux était remplis de larmes, il se laissa tomber au pied de la pierre se recrocveillant sur lui même et se mit à pleuré. les plante poussé par le vent se colèrent à lui, comme si elle voulait le réconforté...

Machi marchait dans le royaume de la terre. Elle ne savait pas pourquoi. Elle savait juste qu’elle en avait le droit. Alors… Pourquoi pas ? Pourquoi ? Peu importe. Elle était là, voila tout. Pourquoi chercher des raisons ? Pourquoi fallait-il toujours qu’il y ai une raison ? Machi elle n’en n’avait pas. Elle ne savait pas ce qu’elle aimait, ce qu’elle voulait de toute façon. Les seules raisons qu’elle pouvait avoir étaient ce qu’elle devait faire.

Toujours est-il que ses pas l’emmenèrent jusqu’au village cacher. Elle ne se demanda même pas comment elle était arrivée ici ou même où elle était. Elle s’en fichait, comme de tout. Elle entendit alors une musique. Elle s’arrêta pour l’écouter, mais aucune larme de coulait de ses yeux, elle ne ressentait rien par rapport à elle. Peut-être parce qu’elle ne l’écoutait pas en fait… elle l’entendait.

Elle tourna les yeux dans la direction d’où provenait le son et vit un jeune homme en train de jouer de la flûte. Cette fois non elle n’avait aucune raison de faire ce qu’elle faisait. De regarder cet inconnu… Est-ce qu’elle le regardait vraiment ? Où est-ce qu’elle avait poser son regard sur lui sans vraiment le voir ? Elle n’avait plus l’impression de faire parti de ce monde avec les autres, de pouvoir faire quoi que ce soit avec eux, même échanger un regard…

[Bon je sais c’est pas terrible mais au moins tu as quelqu’un dans ton sujet maintenant. Par contre si tu veux faire un sujet avec elle, va falloir venir lui parler, parce que c’est pas elle qui engagera la conversation XD]

Si vous voulez que Yako vous rejoigne, y'a qu'à le dire^^

[Bah de toute façon il me fallait un sujet avec Machi, mais je m'en fiche... C'est vrai que ça pas être forcément très pationnant avec elle ^^"]

Yaéden s'arreta de plaurer ses yeux ne versait plus une seule larme, lentement et silencieusemant il se releva, et remit son haut, cachant son bras gauche. Bien que silencieuse, Yaéden avait perçut la présence de la jeune femme, il rangea sa flute, renoua ses cheuveux.

Ses yeux se tournèrent vers elle, apparemment il n'avait remarqué son bras.

"Vous vous promenez souvent par ici?"

N'attendant pas sa réponse, il se tourna vers elle, un regard heureux, souriant cachant sa surprise et l'angoisse qu'elle n'ai vu sa chose (le bras),

"Bonjour"

Même souriant il ressemblait à un adulte, ses mouvement trahissait son serieux, agissant comme un grand frère.
Yaéden se fichait pas mal que cette peronne vienne du peuple de l'aire, ici sur le territoire du dieu de la terre, elle était le bienvenu.

"Je me nomme Yaéden, et vous?"

[‘’Partons vite’’ et ‘’Once upon a december’’… Autant dire que je déprime comme une folle…]

Le jeune homme arrêta sa musique… Comment était-elle déjà ? Elle ne savait même plus. Elle n’avait eu aucune importance pour Machi, alors pourquoi s’en souviendrait-elle ? Mais en tout cas, le jeune homme s’était levé et la regardait. Alors comme ça, il l’avait remarquée ? Mais pourquoi faisait-il attention à elle ? Elle n’avait rien à lui apporter, ils ne se connaissaient même pas. Elle ne comprenait pas…

« Non… »

Son désintérêt de tout avait au moins pour effet qu’elle répondait honnêtement aux questions. Cela lui semblait simplement logique, et elle le faisait sans même y penser. On lui avait toujours apprit à répondre aux questions, et elle ne voyait pas l’utilité de mentir.

Elle vit ensuite le sourire de l’inconnu lorsqu’il se tourna entièrement vers elle. Pourquoi souriait-il ? Pourquoi semblait-il heureux ? Il n’y avait aucune raison… Pourquoi serait-il content de la voir ? Cela n’avait aucun sens…

Puis il la salua. Sans même se rendre compte que la manière dont s’enchaînait les choses, elle s’inclina légèrement en direction du jeune homme.

« Je suis enchantée de faire votre connaissance. »

Une formule de politesse tout simplement. Elle n’était pas particulièrement ‘’enchantée’’ de faire sa connaissance. Cela ne l’embêtait pas. Elle s’en fichait simplement. Enfin c’était ainsi qu’on lui avait demandé de saluer les gens pendant son enfance. C’était ce qu’elle devait faire, elle n’allait pas chercher plus loin.

« Je m’appelle Kuragi Machi. »

[Euh j’espère que ça te gène pas de faire la conversation tout seul parce que pour le moment je peux rien faire. Je peux faire réagir Machi sur certaine choses mais pas quand on lui demande son nom Enfin, si tu veux faire venir quelqu’un d’autre dans le sujet, tu peux ^^]