Recrutage (PV)

Je m'arrêtai à quelques mètres du château. En plein enfer, ce n'était pas si souvent que je venais ici. Je savais ce que la plupart des gens du mal pensaient de la guilde: rien de bon en général, au moins autant que ceux du bien. Après tout, on les accusait plus ou moins d'être des lâches, des mauviettes sans vrai convictions. De plus, la plupart était fidèles à leurs Dieux... On étaient pas très aimés dans le coin.

Le château était grand, en pierre grise, délabré, à moitié en ruine. Il respirait la décadence, la grandeur passée, déchue. Il était à l'image du mal d'aujourd'hui, corrompu, faux, nauséabond. Tous ces gens qui se complaisaient hypocritement dans leur angoisse tapie, leurs vices quotidiens... Ils avaient oubliés la pureté brûlante de la haine, l'horrible beauté de la mort regardée en face, la grandeur des idées quand il ne nous reste qu'elles, le goût du sang bû sans honte du passé et sans peur du futur...

J'entrai silencieusement dans le vieux palais. Le bois de la porte en ogive avait depuis longtemps pourri. On voyait de larges morceaux de ciel sans étoiles à travers le plafond à moitié effondré. La grande salle était glaciale et les pierres nues semblaient exhaler les fantômes d'un passé glorieux. Dans un coin, un escalier presque intacte montait vers un ciel disparut. On s'attendait presque à voir des couples tournoyer au son d'un orchestre, ou les seigneurs discutés en buvant du vin rouge dans des coupes d'or. Mais seul le silence règnait maintenant dans cette demeure de roi. De temps à autres, le cri d'une corneille venait le troubler, sans jamais le détroner.

Je m'approchai d'une tenture de velours mangée aux mites. J'essayai d'identifier les pâles personnages qu'on pouvait encore y distinguer.

**Elle va venir, Dana. Elle arrive.**

Je n'étais pas là par hasard. Je la sentais, tout proche, une âme qui nous avait trouvé. J'attendais qu'elle approche...

Olivia se dirigeavers le chateau qui lui faisait face. Il ne lui assurait vraiment pas confiance mais une sorte de "présentiment" la poussait à allé de l'avant.

Elle avait ressentit cet étrange sensation juste après le meurtre de sa mère. Olivia ne la connaissait pas vraiment, mais celle-ci avait eu le temps de lui parlé d'elle et de son passé. Mais Olivia ne s'en préocuppait guère. Elle avait les parents adoptifs les plus bon au monde. Elle n'avait pas besoin d'une deuxième mère, même si celle-ci était sa mère biologique. Cepandant, lorsqu'elle avait assisté de loin, caché pour que personnes ne la voit, à son meurtre, ça l'avait profondément marqué. Olivia avait érré pendant quelques jours, elle n'avait aucun goût de rentré tranquilement à sa chambre, au royaume de la terre et de recommencé à travaillé comme si de rien n'était. Elle n'avait pas non plus envit d'allé voir ses beau-parents. Olivia se sentait mal, triste. Sa vie qui jusque là avait un sens à ses yeux, tout ses rêves, tout ses sourires venait de partir en fumé. C'est alors qu'elle avait sentit cette pulsion en elle qui lui sommait de se rendre en enfer. Premièrement, elle l'avait tout simplement ignoré, mais se sentiment ce faisait de plus en plus présent. C'est donc en se fiant à ce présentiment qu'Olivia se retrouva devant le grand chateau.

Les lieux n'avait rien de rassurant. Ce devait être un beau château, avant, mais maintenant, plusieurs murs s'était effondré, ainsi que la tour ouest.

Trop curieuse, légèrement téméraire, Olivia entra dans le chateau. Premièrement, elle ne vit rien, que de ruines et de pourritures, mais peu à peu, ses yeux s'habituèrent à la noirceur et elle peu distingué deux personnes dans la vastes pièces, elle ne pouvait pas les identifié, ce n'était que des ombres. Elle avança d'un pas, puis de deux. Soudainement, une vielles dalles de bois s'éda sous son poids, produisant un bruits sour, c'est alors qu'elle se sentit en danger.

*Je n'aurait pas dut venir ici*

Oli essaya de dégagé sa jambe, mais elle était coincé. Les étrangers allait surement venir vers elle. Pour l'aidé ??? Elle n'en savait rien, mais rien n'était moin sûre.

*Je n'aurait vraiment pas dut venir ici*

En donnant un solide coup de pied sur la planche qui retenait sa jambe prisonnière, celle-ci se cassa en deux, libérant sa jambe plutôt douloureuse. Olivia regard derrière elle, la porte était trop loin. Elle dirigea vers l'escaliers qui était plus près.

(hihi à toi, je sens que je vais aimé se topic ^^)
(que penses-tu du nouvel ava d'Olivia ???)

( Moi aussi^^ et j'aime bien l'ava...
je pensais pas que Dana étai là, mais je m’adapte…)

** Éloigne-toi, Dana… Laisse-moi lui parler. Tout ira bien. **

Mon amie obéit et je m’approchai doucement de la petite fille brune qui venait d’entrer. Elle avait un air hésitant, un peu craintif, un peu méfiant. L’air de ceux qui ne savent plus où ils en sont.
Dana était sortie. La petite fille s’approchait de l’escalier en colimaçon qui s’élançait vers les nuages. Olivia.

** On dirait qu’il mène au ciel, n’est-ce pas?**

Je lui parlais tout doucement, mentalement, pour ne pas l’effaroucher. Elle était tellement jeune et tellement pure. Je me gardais bien de la croire inférieure. J’estimais bien plus les enfants que les adultes. Elle pouvait se joindre à nous, je le sentais. La pureté n’était pas nécessairement une marque distinctive du Bien…

** …mais il ne mène nulle part. Regarde, ton ciel n’existe plus. Qui sait s’il a jamais existé? Si tu prends cet escalier, tu ne trouveras que du vide et encore des illusions…**

Je m’étais arrêté à quelques mètres d’elle.

**Mais ce n’est pas la seule voie… Viens, viens, et je t’en montrerai d’autres. Des chemins vrais, où on ne te cachera rien. **

Je la fixai dans les yeux.

** Rien, Olivia, rien… Et quand tu auras peur, je te tiendrai la main. Et tu sauras que ce que tu vois est ce qu’il y a de pire et que tu as touché le fond. Que quoi qu’il arrive, tu y seras prête, sans peur. Que ceux qui seront encore avec toi sur ce sol seront ce que tu ne trouveras jamais de plus vrais…
Monte là-haut et tu chuteras toute ta vie.**

Lentement, je lui tendis la main.

(je viens d’avoir une idée. O.O Je t’en parle lundi)

(ouh ... j'en ai presqu'oublier qu'Olivia n'a que 7 ans o.O)
(je devrai peut-être la faire viellir un peu après ce topic)
(je viens de me rendre compte aussi, Olivia est en quelle que sorte la nièce d'Iri )
(au fait, on peut faire comme si Dana ne serait pas la si tu veux ... moi j'ai rien prévue qui n'éssésite qu'elle soit-là)

Olivia fixait l'étrangère avec des yeux ronds, mais de quoi parlait-elle ??? Elle regarda autour d'elle, auqu'une sortie : l'étrangère lui bloquait la route. Olivia allait tenté quelque chose pour se sortir de se mauvait pas lorsque l'étrangère passa sous un faible rayon de lumière occasioné par un trou dans le plafond. Olivia aurait pu reconnaitre se visage parmit mille, elle s'était juré que jamais elle ne l'oublirait. Cette femme qui lui parlait n'était nul autre que la meurtrière de sa mère.

La rage bouillonnait dans les veines d'Olivia. De quoi parlait cette meurtrière déjà ??? Oh oui ... de vois à prendre, de choix à faire et ... d'escalier à ne pas prendre ??? Étrangement, cette femme lui parlait mais elle n'ouvrait pas la bouche, ses lèvres ne bougeaient pas. Peut habitué par ses moyens magiques, Olivia recula et heurta un mur. Puis Iri lui tendit la main. Olivia s'imaginait les mains de cette femme taché de sang, du sang de celle qui pour un moment avait été la personne la plus importante aux yeux d'Olivia, son idole. Mais cette femme avait tout fichu en l'ère.

Étrangement, cette femme intimidait l'enfant. De tout son corp emmanait une énergie étrange, presque inhumaine. Comment cette femme osait-elle la regardé en face ??? Savait-elle seulement qui elle était ??? Ce qu'elle avait vue ???

La jeune fille jeta un regard plein de dégout à la main que lui tendait l'étrangère

*Si tu crois vraiment que je suis assé stupide pour te suivre, tu te mets le doit dans l'oeil*

Les images de la mort de Maya lui revint en mémoire, la lames, la souffrance sur le visage de sa mère, sa chute, et la douleur qu'avait ressenti Olivia jusqu'au plus profond-elle même, se sentiment d'abandon, de soudain redevenir seule au monde. Olivia se demanda ce que Maya aurait fait à sa place ...

*Elle n'aurait surement pas resté là, bêtement devant cette meurtrière*

Olivia regarda autour d'elle et se forma un plan dans sa tête, elle pourrait s'enfuir à sa droite mais ça emmenerait dans le sens contraire de la porte de sortie.

*Je pourrait surement me caché dans l'obscurité puis, en longeant le mur, je pourrais surement me rendre à la porte*

- JAMAIS !!!!!!!!!!!

Olivia tassa violament la main de l'étrangère devant-elle puis, elle courru vivement vers l'endroit opposé, pour se caché dans l'obscuritée.

On entendait les bruits de ses pas rapide qui résonnait dans la vaste pièce.

(Mais non! En fait, tu es ma demi-sœur, vu qu’on a le même père^^)

Elle ne comprenait rien, bien sûr. J'avais été naïve de penser que ce serait aussi facile. Mais je n'avais pas gaspillé mon temps non plus. Mes mots s'étaient plantés dans un coin de son esprit, et un jour, quand elle en aurait besoin, il ressurgirait pour l'aider.
Pour l'instant, il fallait trouver un moyen de la convaincre. J'aurais pu essayer de forcer son esprit, mais je ne voulais pas. Je l'aurais abîmé, partiellement détruit. Il aurait été blessé, souillé, inutile. Elle devait venir d'elle-même. Je devais la faire venir.

Je m'immisçai tranquillement dans son esprit, essayant de le comprendre. Je me repliai aussitôt, surprise. Elle me connaissait! Nous ne nous étions jamais rencontré, pourtant! Comment était-ce possible?

Elle s’enfuit. Je n’essayai pas de le retenir, mais de trouver la réponse à ma question. C’était important, j’en étais sûre. Je fermai les paupières.

Sur une colline, la sensation de courir. Des larmes. Qu’est-ce qui s’est passé? Quelque chose d’horrible. Quelqu’un est mort. Quelqu’un s’important comme… une mère! Une mère qu’on n’a pas connue. Quelqu’un l’a tué. Une fille aux cheveux blancs. Une mère est morte avant de connaître sa fille.

Je rouvris les paupières. Je regardai Olivia qui courrait vers la sortie. Les cheveux bruns. Surtout, quelque chose dans l’aura qui se dégageait d’elle, une sorte de mélange de naïveté, de bonté et de rage qui rappelait Maya. Comment avais-je pu passer à côté de ça? À ma connaissance, Maya n’avait jamais eut qu’une seule fille. Je me remis à étudier la fillette. Me ressemblait-elle? Ça, j’étais incapable de le dire. Mais elle ressemblait à Maeve à ne pas en douter. C’était bien une fille d’Isidore, la troisième. Celle qui devait encore choisir son camp. J’avais une autre sœur.

Soudain, je sus exactement ce qu’il fallait faire.

**Olivia.**

Je mettais toute ma puissance Dans mes mots, qui devenaient un appel irrésistible.

** Je suis Irisae Ellora. Je suis ta demi-sœur, et j’ai tué Maya…
Nous avons le même père, Olivia. Isidore Maleik. Je ne l’ai pas connu, pas plus que toi.
Et nous ne le connaîtrons jamais. Parce qu’il est mort. **

Je lui laissai à peine quelques secondes pour diriger ces nouvelles.

**Ton père est mort, Olivia. C’est Maya qui l’a tué.**

Que pourrait-elle penser de ça? Une mère qui l’abandonnait, qui tuait son père? Qui avait-il à penser? La vérité était simple, claire comme du cristal lorsqu’elle était étalée ainsi au grand jour. N’importe qui pouvait tendre la main, s’en emparer, jouer avec, la transformer, la maquiller. Mais ça, Olivia ne le savait pas.

(Vive Oli !!!! loll ^^)
(Oh mais oui, j'oubliait, c'est seulement que Olivia est si jeune comparé à Meave et Iri ...)

Olivia s'arrêta net de courrir. Elle n'était qu'a quelques pas de la porte et pourtant, elle lui semblait si lointaine. Les mots de l'étrangère se plantère dans son coeur, formant une boule dans sa gorge. Certe, après avoir d'écouvers sa mère biologique, elle s'était posé des centaines de questions sur son identité, questions qu'elle n'avait pas eu le temps de posé à Maya.

Son père était mort ??? Sa mère aussi ... Mais que disait Iri ??? C'était sa mère qui avait tué son père ??? Pourquoi ??? Oli sentait ses courtes jambes trembler sous son poids. Toute sa famille était morte. Morte sans se soucier d'elle, morte en l'abandonnant.

Iri, elle, ne l'avait pas abandonné, elle était là, la pour elle.

Mais l'étrangère avait tué sa mère. Elle avait tué la seule personne qui lui restait. Bien sûr, Maya avait tué son père. Oli ne connaissait rien de lui, il devait avoir fait quelque chose d'affreu pour que sa mère veuille lui enlevé la vie volontairement ou par accident. Cepandant, Irisae avait tué Maya. Une vie contre une vie ??? Maya avait tué alors il fallait tué Maya. Olivia ne connaissait rien à tout ça. Jamais elle ne s'en était interessé. Elle vivait dans son petit monde parfais, puis, elle avait rencontré un monstre sur la montagne, avait ensuite découver le vrai visage de sa mère pour ensuite assisté au meurtre de celle-ci. Tout son univers avait basculé. Ses rêves ne se déroulait plus dans le merveilleux champs de fleur de son enfance mais dans des paysages cauchemardesque. Ses pensé, habituellement habité par la joie et le bonheur, n'était que désert d'incompréhension.

"Je suis ta demi-soeur"

Olivia n'était pas seule. N'était plus seule, sa soeur était là, tout allait bien allé. Comment une soeur pouvait-elle être méchante ??? Soudainement, les jambes d'Oli, sans vraiment qu'elle l'ai commendé, firent un pas, puis deux. Soudainement, son visage sortie de l'ombre. Ses yeux bruns, semblait vouloir tiré vers le bleu, allimenté par la peur.

Olivia regarda le visage de sa demi-soeur. Elle ne lui ressemblait pas. Ses longs cheveux était blanc comme la neige et semblait légé comme l'air. Ses yeux était cruelle et froid, sans compté que cette femme avait un étrange façon de parlé sans remuer les lèvres. Irisae était grande et semblait agé d'environ une quinzaine d'années.

Méfiante, Olvia posa d'une voix qu'elle voulait ferme.

- Parles moi de mon père

Elle s'approchait, doucement. Elle avait compris, exactement ce que je voulais qu'elle comprenne: elle était toute seule, et j'offrais de l'aider. Elle ne pensait pas à Kanaël Sanada, elle ne pensait pas à ses parents adoptifs. Elle faisait comme moi après la mort de Nicko: elle se racrochait à la seule personne qui était là quand elle en avait besoin.

J'observai un étrange phénomène tandis qu'elle sortait de l'ombre. Ses yeux viraient au bleu, lentement. Était-ce lié à ses émotions? Ou alors, à ses pouvoirs, qui s'éveillait au contact du mal? Je sentais qu'ils étaient puissant, c'était évident, leur puissance endormi rayonnait autour de la fillette et se mmélait à son aura, accentuant encore sa ressemblance avec Maya.

**Je ne connais pas grand chose de notrre père, Olivia. je sais qu'il s'apellait Isidor Maleik et que c'était un elfe du royaume de l'eau. J'ai toujours vécu avec ma mère, et elle ne me parlait pas souvent de lui.**

À quoi bon détruire les rêves d'une enfant? Son père était une ordure, il était mort. Il avait déjà fait assez de mal à ses filles sans qu'il revienne nous hanter de sa tombe. Olivia s'inventerait un autre père, meilleur. Et Isidor me ferait le plaisir de rester parmis les morts.

** Mais je sais qu'il avait les yeux bleus, bleus comme tu les a en ce moment...**

Doucement, je relevai le meton de la fillette et pour voir ses iris bleux. Elle avait une peau d'enfant, chaude et douce. Les contacts humains était si rare pour moi que je retirai rapidement ma main.

** J'avais les yeux de cette couleur, moi aussi, avant...**

Je parlais autant pour moi-même que pour la fillette.

**Tes yeux nous disent que tu as de grands pouvoirs, Olivia.**

D'un geste ample, j'indiquai le château en ruine, poussiéreux autour de nous.

** Regarde ce chateau effondré. Il est laid, pitoyable. Pourtant il a été beau un jour.**

Je m'accroupis pour me retrouver au même niveau qu'elle, la fixant dans les yeux.

** Reste avec moi, Olivia. Ensemble, nous pourrons faire retrouver à ce chateau sa splendeur d'antan. Nous ferons des grandes choses. Tous ce que tu veux savoir, tout ce que tu veux apprendre, je te le montrerai. Nous sommes soeurs, je ne t'abandonnerai jamais.**

Olivia baissa la tête tristemement lorsqu'Iri lui parlait (ne lui parla pas en fait^^) de son père. Elle ne l'avait pas connus et il était mort. Olivia n'avait pas non-plus écouté sa mère et elle aussi était morte. Devinant soudainement qu'elle éTait orpheline, un poid énorme s'ajouta à ses épaules, tellement lord que ses jambes tremblèrent. Iri était sa seule parenté, sa seule amie, sa seule famille, sa seule chance ... Puis soudainement Olivia releva la tête lorsque Iri lui parla de ses yeux.

Yeux bleus ??? Pouvoirs ??? Mais de quoi parlait Iri ???

- Mes yeux ne sont pas bleus ... Et je n'ai pas de pouvoirs ... Je suis une filles comme les autres tout ce qui a de plus normal !!! J'éai été élever par des gens normal, dans une ferme normal ... puis je suis allé travaillé normalement comme tout ce qui a de plus normal ... Je suis normal !!! Mes yeux sont bruns, je n'ai et n'aurait jamais des pouvoirs ...

Pourquoi refusait-elle d'accepté le contraire ??? Olivia était différentes, elle le sentait dans chaque fibres de son corp ... mais l'accepté serait accepté le fait que Maya était sa mère. Et ça elle ne le pouvait pas. Pour elle, ses parents adoptif étaient et seraient toujours ses parents, toujours.

Olivia recula d'un pas lorsque la mains glacé de sa demi-soeur éfleura sa joue. Olivia qui avait souvenir des chaudes mains de sa belle-mère fut intrigué par le fait que celles d'Iri soient si froides, quasiment glacées.

"Je ne t'abandonnerai jamais"

*Je suis seule mais elle est la ... elle ne ma jamais abandonné, elle ma recherchée. Elle ma trouvée ...*

Olivia leva les yeux vers le plafond du chateau, enfin, ce qu'il en restait. Il était vaste. La salle dans laquelle elles se trouvaient n'était pas éclairé, pourtant, un lustre pendant toujours au plafond. Le plancé était sous au moins 10 cemtimètre de poussière et cachait du bois totalement pourrit par les années. Ce chateau devait être une vrai merveille de son temps. Mais comme l'eau qui coule sous les ponds, le temps ayant fait son oeuvre, une guerre sanguinaires en a terrassé les habitant, l'essant ici le vestige, comme une promesse de ce chateua à l'abandon.

- Mais commen redonné sa valeur d'antant à un choses si grands, si dépérie, si ... si ... si sombre ???

Olivia n'était pas au courant de ses pouvoirs? Ça allait peut-être bien simplifié les choses...

** Suis-moi...** dis-je sans répondre à la question de la petite fille.

Je mavançai vers un coin de la pièce, enjambant quelques débris. Finalement, je décrochai le lourd cadre ovale du mur où il était suspendu et le posai par terre. Avec ma main, je le dépoussiérai un peu. Le verre était piqueté de rouille, une large craquelure le traversait de part en part... Le monde au travers paraissait flou, vieux, usé... Je fis signe à Olivia de se regarder dedans.

** Tu vois?**

Elle avait les yeux bleus, d'un bleu éclatant, non-naturel.

** Tes yeux sont le signe de ta puissance. Ils étaient de cettecouleur à ta naissance et ils reprennent cette couleur lorsque ta vrai nature, tes pouvoirs réaparaissent.**

Je déposai prudemment le miroir par terre. Un peu de poussière s'envola et flotta en l'air.

**Tu m'as demandé comment nous pourrions arrivé à restauré ce qui est plongé dans l'oubli. C'est grace à des gens comme toi, Oli. Des gens puissant. Ce sont eux qui peuvent changer les choses... Tu détiens des pouvoirs. Tu peux changer le monde, si tu veux. Faire des grandes choses... C'est ici, que tu apparyiens. Tu trouves peut-être ces terres solitaires, désetées. Mais elles sont ta maison. Tu dois les aider. Ne le sen-tu pas au fond de toi?**

Le souffle de Olivia se coupa lorsqu'elle vit son reflet dans le miroir. Ses yeux, qu'elle croyait brun, était maintenant d'un bleu fantomatique totalement iréel. Il brillait dans le noir tel deux lampes dans la pénombre.

Yeux bleus ... pas bruns, bleu ... Bleu ???

Comment ses yeux pouvait-il être bleu. Par quel miracle ???

Elle murmura pour elle même.

- Je ne comprends pas.

Olivia posa sa petite main sur la surface stridé par les cassures du temps. Soudainement, son doigt frolla de trop près un morceau de vitre et une large coupure apparut sur son index, libérant du sang qui tacha le miroir. La douleur était moindre mais elle convanqui Olivia que ce qu'elle vivait était bien réel.

La jeune fille retira rapidement sa main de la surface miroitante. Si Iri disaiy vrai, elle possédait des pouvoirs, mais lesquels ???

Lorsqu'elle était petite elle avait toujours voulu possédé des pouvoirs surnaturels. C'était un de ses plus grands rêves. Un moment de son passé lui revint alors en souvenir. Du moment ou elle habitait encore avec ses beau-parents. Une petite filles habitait dans sa rue. Olivia l'aimait bien, elles était amies d'enfance. Un jour, elle était allé joué un peu trop près du grand ravin qui bordait le village. Son amie, Naomy, avait perdu pied et était tombé. elle aurait dut mourrir en touchant le sol, mais étrangement, elle s'est arrêté tout un coup à moin de 10 centimètres du sol. Elle n'a pas été blessé. En plus, elle à découvert qu'elle avait le pouvoir de volé. Olivia était heureuse pour elle mais un peu jalouse, car elle n'en avait pas. Alors depuis ce temps, elle souhaitait plus que tout au monde être une enfant "spéciale". Seulement, un matin, Olivia alla cherché Naomy pour allé Joué mais elle trouva la maison vide ... Elle alla avertir ses parents mais nul ne répondit jamais à sa question. Olivia ne comprenait pas pourquoi, mais un soir, elle entendit parlé ses parent de cette histoire. Par le trou de la serrure elle finit par comprendre que Naomy avait été tué par un attentat visant les enfants avec des pouvoirs surnaturels. Depuis ce temps, Olivia avait fuit comme la peste toute relation avec les autres enfants et elle s'était appliqué pour parraitre comme une petite fille tout à fait normal. Sans pourvoirs, rien que tout à fait normal.

Ce pouvait-elle qu'elle ai finalement ses dons qu'elle avait tant voulut et pourtant tant redouté ???

Le discours d'Iri la coupa de cours. Elle pouvait vraiment tout changer ??? Aider ???

Une larme coulla sur la joue d'Olivia. Son monde s'écroulait lentement autour d'elle. Toutes ses certitudes étaient remplacé par d'autres. Toutes plus impossibles à accepté que les autres.

Elle mumura dans un soupir :

- Mais comment, je ne sais même pas qui je suis.

Elle releva la tête et de ses yeux luminessant dit d'un ton ferme :

- Montre-moi ...

**D’accord…**

Je m’accroupis à nouveau et posai délicatement mes mains sur les temps de la petite file. Tout doucement, pour ne pas la blesser, j’entrai dans son esprit.

**Je vais essayer de t’aider…**

Je cherchai dans son petit crâne l’endroit où résidaient ses pouvoirs. Une douce lueur bleutée semblait en émaner. Il y en avait deux. Je devinai le contrôle de la nature parce qu’il me faisait penser à Maya. Mais je n’arrivais pas à comprendre l’autre…
Apparemment, ils s’étaient réveillés d’eux-même, stimulés par toutes ces émotions. Maintenant, il fallait éviter qu’ils ne replongent dans la léthargie.

Je réintégrai mon corps et prit la main d’Olivia, un peu inquiète. Ce n’était qu’une petite fille, et accueillir quelqu’un d’autre dans son esprit, même aussi doucement que je venais de le faire, était une expérience traumatisante.
- Ça va?
J’avais utilisé ma voix, qui était rauque et enroué. La dernière fois que ça m’était arrivé remontait à ma rencontre avec Maeve. J’avais l’impression d’avoir dévoilé qelque chose d’intime et j e rougis un peu. Mais je voulais rassuré Oli, et je pensais qu’elle préférerait entendre une voix humaine… J’attendis une petite minute pour qu’elle se remette, puis je me relevai.

** Viens. J’ai vu que tes pouvoirs sont réveillés, on va essayer de les tester.**

Je la pris par la main et sortit des ruines du château. Faire des tests de pouvoirs dans cette bâtisse croulante ne me semblait pas une très bonne idée… J’attendis qu’Oli me rejoigne.
Je lançai un regard circulaire autour de moi, à la recherche de quelque chose qui pourrait m’aider. Et je trouvai ce que je cherchais.

-Approche.

Une corneille nous survola en croissant. D’ailleurs, il y en avait tellement dans le coin qu’il devait y avoir une charogne non loin…
Lorsqu’Olivia m’eut rejoint, je m’agenouillai et lui montrai une petit fleur toute simple. C’était un brin de muguet, avec ses petites clochettes blanches toutes fanées.

** Tu te souviens de ce que je t’ai dit tantôt, dans le château, Olivia? Que tu nous aiderais à rendre beau à nouveau ce qui l’était autrefois? C’est exactement ce que tu dois faire, en plus petit, avec cette fleur. La rendre belle comme autrefois. Concentre-toi, je sais que tu es capable.**

(merde ... je suis obliger de le recommencé, il à déscidé de s'éffacé ... l'art de perdre 15 min de son temps pour faire un topic et pour ne pas le posté ensuite)

Iri s'accroupit devant Oli. Celle-ci, réprimant sa peur, s'oubligea à l'immobilitée. Elle commençait à faire de plus en plus confiance en Iri et étrangement, Olivia voulait lui plaire. Alors elle fixa Iri droit dans les yeux lorsque celle-ci plaça ses mains de chaque coté du crane de la jeune fille et lança son pouvoir...

Ce fut comme une douche d'eau glacée. Olivia avait l'impression que son crane était soudainement devenue trop petit pour son cerveau. Sa tête était sous pression, causa une douleur de chaque coté de son cerveau. Mais Olivia serrait les dents.

*Je ne veux pas qu'elle pense que je suis une mauviette*

La douleur s'accentua au fur et à mesure que Iri cherchait dans son crâne. Elle n'était plus capable d'aligné une pensé derrière une autre. Elle avait l'impression que son coeur allait arrêté de battre, que sa tête allait explosé, que ses poumons manqueraient d'air ... Mais soudainement, la douleur reflua, Iri sortie de sa tête.

Olivia vassilla un peu, avant que Iri lui tende la main, elle alletait, comme si elle était resté longtemps en dessous de l'eau. C'est alors qu'elle entendit la voix de Iri, une voix si différente de celle qu'elle entendait dans son esprit ... Mais cela lui fit du bien, la calma, lui donna la force de se relevé et de continué. Olivia lui rendit un petit sourire qui voulait dire que tout allait bien ...

Oli suivit sans rien dire Iri. Elle l'emmena à l'extérieur. Le soleil se couchait au loin, et bientôt la lumière qui resterait sera comme un souvenir, ou comme une prommesse du lendemain mais laisserai place aux étoiles, ses petites billes lumineuse qui chochotait aux orreils parfois, la nuit.

Elle rejoignit Iri qui se tenait devant une petite fleur toute simple, fannée, comme le reste de la végétation des alentours.

Je m'aprocha sans dire un mot. Le regard fixé sur la pauvre création qui était comme seule au monde, comme moi ...

*La rendre belle comme autrefois ...*

Olivia se sentait comme cette fleur, fannée par les évènements du passé, seule au monde dans cette verdure brulé, orangé. Mais Iri lui avait donné une seconde chance et elle en ferait de même pour ce petit brin de muget.

Elle se consentra de toute ses forces, visualisé la fleur comme elle voulait qu'elle devienne, força, ferma les yeux, se concentra mais ... rien. La petite fleur resta fannée, pauvre et petite.

- Je n'y arrive pas ...

Elle leva les yeux remplit de remords sur Iri, elle n'était pas à la hauteur des espérences de Iri.

- J'essais mais je n'y arrive pas ...

(Iri j'ai une idée je t'en parle demain)

(hmmm... je connais bien cet art, même un peu trop... musique: la monture^^)

Ça ne marchait pas. Et elle s'en voulait. Je l'avais déjà en main, je le voyais dans ses yeux inquiets de me décevoir. Mais ses pouvoirs ne réagissaient pas. Elle s'y prenait mal. On s'y prenait mal toutes les deux. Il fallait trouver quelque choses pour les stimuler un peu. Une émotion, ça marchait à tout coup. Avec la guilde, j'utilisais souvent la peur, l'avidité. Mais Oli n'avait que sept ans, quand même... je décidai d'essayer la colère.
Comment faire pour mettre une petite fille en colère? Je me souvins de la rencontre avec Elfyora de Hélios... J'avais réussi à la mettre dans une rage indéscriptible en détruisant un de ses symboles. Là-bas, ça n'avait pas été ma meilleure idée, mais ici ça pouvait marcher...
Sauf qu'Olivia était trop jeune pour chérir un symbole. Une idôle, alors? Tout le monde a des idôles. Surtout les enfants.

**Allez, Olivia! Tu es meilleure que ça! Tes pouvoirs sont puissants! Tellement que Kanaël en avait peur... C'est un dieu, Oli! Il a tout de suite vu que tu avais des pouvoirs, alors il a eut peur. Il le savait, mais il ne te l'a jamais dit. C'est pour ça, aussi, quand il a découvert que Maya était ta mère, il a tout arrangé avec elle. Ils avaient prévu qu'elle t'amène vite au loin. Il voulait se débarasser de toi, il ne voulait même plus t'avoir sur ton territoire, parce que tu lui faisais peur...
Je lis dans l'esprit des gens, Olivia, je sais beaucoup de choses... je sais que les dieux sont menteurs, lâches. Kanaël était gentil avec toi? C'était seulement parce qu'il savait bien, qu'un jour tu serais plus puissante que lui. il te maintenait dans la médiocrité, il te faisai rérucurer des planchers alors que tu aurais pu faire beaucoup mieux... que tu méritais beaucoup mieux. Il espèrait qu'en te cachant la vérité, il t'empèchrait de devenir plus forte que lui... Tu vois? Toi tu l'aimais, et lui ne pensait qu'à protéger son pouvoir! Si tu avais été plus menaçante, il t'aurait tué sans pitié, crois-moi! Ne fais plus jamais confiance au dieu. JAMAIS! Hais-les. Ce sont tous des menteurs. Ils se cramponnent à leur pouvoirs. Ce sont eux qui nous empèchent de rendre les choses belles comme autrefois... Mais ils ne réussiront pas. On peut être plus fort qu'eux. Tu peux être plus fort qu'eux. Ils voudraient bien que tu laissesce brin de muguet tout fanné, comme il est là. C'est tellement plus facile, quand il n'y a qu,eux de beau, qu'eux qui brillent! Mais tois, tu as le pouvoir de faire refleurir ce muguet, tu en es capable, et ils ne pourront pas t'en empêcher! Alors, fais-le! Maintenant!**

J'avais l'impression de ne jamais avoir autant parlé. Si elle n'était pas en colère après ça, c'était un cas désespéré...

(Désolé Kan^^ bon, plus qu'un post et tout est bouclé! )

La voix qui résonnait dans l'esprit d'Olivia était devenue forte et pleine de morgne.

Oli je ta un regard en direction d'Iri, ses dires etaient-ils fondé ??? Kanaël était-il vraiment tout le contraire de ce qu'il avait voulu lui faire croire ???

Une voix dans son esprit était contre ses propos :

* Non ! Ne l'écoute pas ! Les Dieux n'ont peur de rien, Maya ne voulait pas faire ça, elle ne savait pas que tu étais sa fille. Tu es toujours la bienvenue sur le territoire de la terre. Tu aimais travaillé pour lui, la travail ne te faisait pas peur ! Jamais il ne t'aurait fait du mal, il est gentil Kanaël ...*

Mais une seconde voix dans son esprit disait tout le contraire.

*Kanaël n'est qu'un lâche, Il ne t'a jamais dit que tu avais des pouvoirs parce qu'il voulait brillé seul. Il t'a menti toute ta vie à propos de ta mère, à propoes de tes origines, à propos de tes pouvoirs, tu ne peut plus lui faire confiance, il te hais ! Tu mérites bien mieux, laisse les belles paroles à ce Traître de Kanaël et occupe toi à faire rajeunir ce brin de muget esp`ce d'incapable !!!*

C'était la guerre entre les deux voie dans la tête d'Oli, mais qui écouté ??? Elle ferma les yeux, essayant de chassé ses voix de son esprit mais elles reprirent de plus belle.

*Il s'est joué de toi il t'a trahi*
*non ...*
*Il te hait, et s'il l'aurait pu, il t'aurait tué depuis longtemps*
*NON*
*C'est seulement à cause de Maya qu'il ne la pas fait*
*NON !!! Ce n'est pas vrai !!!*
*Maya n'on plus ne t'aimait pas, c'est pour ça qu'elle ta abandonné, c'est parce que tu n'était rien pour elle, que de la vermine. Tout le monde c'est joué de toi, personne ne t'aime*

- NOOOOONNNNN !!!!

Olivia avait crié. Elle avait réouvers ses yeux qui était plus bleu que jamais. Elle fixa le petit brin de muget tout ratatiné à ses pieds. Elle pouvait le faire, elle devait le faire ... Pour prouvé qu'elle était capable !!!

Elle se concentra, Olivia tremblait de colère. Ses yeux bleu éclatants fixés sur le petite brins de muget. Elle y plongea toute sa volonté. C'est alors qu'elle prit concience d'une nouvelle chose en elle : elle pouvait le faire.

Son pouvoir, décuplé par la colère et par l'envie de faire ses preuves, se dévoila. Ce ne fut pas seulement la petite brins de muget qui grandit devant ses yeux à une vitesse incroyable mais aussi toute la végétation des environs dans un rayons d'au moins 10 mètres. Le gazon brunis par le soleil vira au vert éclatant. Les arbres morts retrouvèrent leur vitalité d'antan et de belle fleur parcourait maintenant les rosiers. Le petit brin de muget devint gigantesque.

La petite prairie désestiques et brulé etait devenue un petite jardin de jouvence. Olivia vit même un couple de papillon voleté autour d'une fleur. Elle avait réussit. Elle était capable. Les vois dans son esprit se turent.

Olivia jeta un regard plein de fierté à Iri.

Qu'en pensait-elle ???

Le décor était enchanteur, à présent. Pas vraiment le genre de clairière qu’on s’attendrait à trouver en Enfer… De toute façon, toutes ces belles fleurs seraient sans doute fanées dans moins d’une heure et l’herbe serait de nouveau jaune et desséchée. Ainsi va la vie dans les royaumes du mal et on ne va pas aussi aisément contre le cours des choses.
Mais pour l’instant, Olivia ignorait. Elle avait remportée une première victoire et ses yeux qui cherchaient anxieusement mon approbation pétillaient d’un bleu pur.

Je me forçai à lui sourire, même si voir la confiance dans ces yeux innocents me rendait plutôt mélancolique. J’avais beaucoup sourit, durant les dernières heures, en comparaison des mois précédents et j’avais un peu mal aux joues, à force.

**C’est bien, Oli. J’étais sûre que tu en serais capable. **

Je tenais à la féliciter, mais pas trop non plus. Cette épreuve était bien facile en comparaison de celles qui l’attendaient.

Je devais en profiter, pendant que ses pouvoirs étaient bien éveillés pour essayer de découvrir son deuxième. Je ne connaissais qu’un moyen efficace pour ça, même si attaquer une fillette aussi jeune semblait dangereux.

Sans prévenir, je dégainai brusquement ma dague et la lançai vers Oli, visant l’épaule pour ne pas la blesser gravement.
Normalement, si elle avait un pouvoir le moindrement offensif ou défensif, il la défendrait. Je prenais une chance, bien sûr, mais calculée. Le plus grand risque était de briser sa confiance.

(désolé, c’est court, mais c’est vraiment tout ce qu’il y avait à dire.)

Olivia savoura les félicitations de Iri. Comme c'était réguissant d'atteindre son but !

Elle se sentait différente, plus mature, plus agé. Ses anciennes perceptions se voiyait remplacé par des nouvelles, plus solide. Elle voyait comme la lumière au bout du tunnel, le résultat de toute sa vie, l'aboutissement de son chemin : Irisae. Olivia sentait en elle plus que ce qu'une soeur pourrait lui offrir, elle sentait en elle la solution de la complexe équation de sa vie. Elle la suiverait quoi qu'il arrive.

Soudainement, elle vit du coin de l'oeil un mouvement futile de la main d'Iri. Oli tourna la tête lorsqu'elle vit qu'un dague fonçait droit dur elle, pointe devant.

Sa première réaction fut la panique, elle voyait la lame avancé vers elle mais ne pouvait pas bougé, paralisée par la peur et par l'apréhension du choc. Ne pouvant se résigner à fermer les yeux, elle fixa la lame foncé droit dur elle, dans sa courbe meurtière, parfaite. Le temps semblait savoir arrêté. Plus rien ne semblait éxisté à par elle et cette dague. Olivia ne savait que faire, mais que pouvait-elle faire !?

La lame n'était qu'a 10 centimètre d'elle lorsqu'elle comprit ce qui se passait en elle. C'était comme si, d'abord rouillé, le mécanisme avait refusé de se déclanché, et que peu à peu, il reprennait du service. La lame n'était qu'a une poigné de centimètre mais Olivia s'en foutait, elle n'avait plus peur. Malgrés elle, ses paupière se fermère, la plongeant dans l'obscurité. Elle jeta un regard sur Iri, un regard remplit de reproche, puis, elle n'éxista plus.

La lame siffla l'air pour allé se planté dans un arbre lointain, dèrrière l'endroit ou s'avait tenu Olivia au paravant. La plaine était déserte, la jeune fille avait disparue ...

Oli rouvrit les yeux. Le paysage qu'il l'entourrait était délavé, comme si un vent battait tellement fort que l'image qu'on voyait devenait flou, étirer, déformé. Elle ne comprit rien au début, mais tout à coup, tout fut clair. Elle se trouvait au même endroit, elle pouvait distingué a grand peine la dague toujours devant elle. Seulement elle ne bougeait plus. En un élair tout fut clair dans son esprit. Elle fit en un pas ce qu'elle aurait put faire en 20 et quitta tout à coup cet étrange temps figé pour se retrouvé derrière Iri.

Elle vit la dague fendre l'air à l'endroit ou elle se trouvait à l'insatnt et se planté dans un arbre.

Premièrement, elle ne comprit pas, mais tout à coup, tout fut clair. C'était ça son deuxième pouvoir, elle pouvait changé d'endroit automatiquement, elle pouvait se téléporté !!!

Tout à coup, son regard se tourna vers la dague qui était planté quasiment jusuqe à la garde dans l'écore de l'arbre. Un éclat de oclère passa dans ses yeux soudainement redevenue bruns. Elle allait injurer Iri, lui dire comment elle avait pun osez faire ça ... Mais elle se sentait lasse, vidée de toute énergie.

Elle se contenta donc du petit :

- Pourquoi t'à fait ça !?!?!?!!

Les paupières lourde de fatigue, elle vacilla, mais lança tout de même à Iri un regard remplit de reproche.

(désolé, c’est court, mais c’est vraiment tout ce qu’il y avait à dire.)

Ma dague fonçait droit vers Olivia, propulsée par ma propre main. Un instant, ma petite sœur la fixait d'un air incrédule. L’instant d’après elle avait disparut.

Je relâchai mon souffle. Je ne m’étais même pas rendu compte que je le retenais.
La téléportation. C’était un bon pouvoir, très utile et en tout temps. Je ne faisais pas que mentir, Oli serait vraiment puissante, un jour.
Je me levai et récupérai ma dague, enfonçai dans le tronc d’un arbre. Je fronçait les sourcils inconsciemment, contrariée. Je n’avais pas à me justifier de mentir, même à moi-même. Et ce sentiment naissant, dans ma poitrine, qui ressemblait vaguement à de la fierté?
Ridicule. Pourquoi aurais-je été fière du pouvoir d’une autre? Cette fierté stupide, c’était bon pour les imbéciles du Bien. Je connaissais mieux le monde que ça.

La matérialisation d’Olivia près de moi chassa mes pensées. Elle me jeta un regard de reproche. Ses yeux avaient retrouvé leur couleur marron naturelle. Elle vacillait presque sur ses pieds de fatigue.
Une curieuse chaleur se répandit dans mon cœur à cette vue. Je fis un gros effort pour réprimer l’envie de la prendre dans mes bras.

**Je suis désolé Oli. C’était le seul moyen de réveiller ton deuxième pouvoir. Je te jure que je n’aurais jamais lancé ma dague si je n’avais pas été sure que tu étais capable de l’éviter. J’avais confiance en toi. Et tu vois, j’avais raison.**

Pourquoi ces mensonges étaient-ils si faciles à débiter? Je devais rester sur mes gardes, il n’y a rien de pire qu’un menteur qui se prend à son propre jeu.

Il fallait absolument qu’Olivia se repose. Je jetai un coup d’œil aux alentours. La clairière était encre fleurissante de la magie de la petite fille, mais plus pour longtemps. Et je ne tenais pas à ce qu’elle voit ça. Il valait mieux s’éloigner un peu.

**Viens**

Je lui pris la main et l’entraînai dans le bois. Je comptais sur la fatigue pour me faire pardonner.
Finalement, je m’arrêtai sous un grand sapin dont les branches formaient un large parasol autour du tronc. La terre, sous cet abri improvisé, était couverte de mousse verte et douce, à peine humide. C’était idéal.

**On sera bien ici. il faut que tu dormes un peu, tu es morte de fatigue.**

J’otai ma cape noir de sur mes épaules et l’étendit sur la mousse pour que la fillette puisse s’y étendre. Elle était juste assez grande pour elle. Une corneille croissa à nouveau. Je m’assis à côté d’Oli, le dos appuyé sur le tronc rugueux de l’arbre. Il ne me restait plus qu'à attendre, et dormir si j’en étais capable. Cette chaleur en-dedans de moi me tiendrait compagnie.

Oli suivit Irisae sans rouspété. Elle était morte de fatigue et ses jambes avaient de la difficulté à la supporté. Elle arrivèrent finalement en dessous d'un sapin. Dès que Iri eu posé sa cape sur le sol, Olivia si coucha. Elle pensait que le sommeil l'emporterai dès qu'elle fermerai les yeux mais sa tête était trop plein de question pour sombré dans le sommeil. Il lui manquait trop de réponses.

Lorsque ce fut évident pour Olivia que le sommeil la fuiyait, elle décida de questionné Iri.

- D'après toi, pourquoi Maya a-t-elle tué notre père ???

Elle ouvrit les yeux avant de continué.

-Depuis que je suis toute petite que l'on m'apprends qu'il ne faut pas tué ni faire du mal à quelqu'un, sous aucun prétexte, alors qu'avait fait mon père pour mérité un tel châtiment.

Olivia pensa un instant avant de poursuivre.

- Est-ce que c'est parce qu'elle avait tué notre père que tu l'as tué ? Parce qu'elle à tué qu'il a fallu que tu l'as tue. Une vie contre une vie ?

Elle attendait la réponse, mais soudain un doute se fut dans son esprit. Elle murmura donc, si bas que seul Iri pouvait l'entendre :

- Mais si toi tu as tué, alors il faut que quelqu'un te tue pour te punir, mais si cette personne te tue, elle se fera tué à son tour et ainsi de suite, ça na pas de sens.

Elle leva ses yeux bruns sur Iri, décidé à lui posé les vrais question.

- Qu'est-ce qui fait que certains gens mérite de mourrir, pourquoi ?

(dsl, c'est cour mais tout ce que j'ai pu trouvé)

(ça va. c'est déjà assez dur de répondre comme ça...)

Pourquoi ne pouvait-elle pas dormir?
Je sentais son regard fixé sur moi, attendant que je lui livre la vérité.

- Pourquoi Maya avait-elle tué Isidor? Parce qu'il l'avait utilisé puis jeter comme une pantin, une poupée et qu'elle s'était brisée en tombant. Pourquoi ais-je tué Maya? Parce qu'un autre m'avait abandonné et que j'avais choisi cette voix de vengeance pour le punir, le faire souffrir.
A quoi bon chercher un sens dans tout ça? Il n'y en a pas. Tout le monde fait n'importe quoi. La seule différence est que quelques uns pensent que ce qu'ils faisaient a un sens et d'autres admettent que non.
Certains te diront que personne ne mérite la mort. Je te dirai que tout le monde devrait mourir pour les larmes qu'ils font un jour verser à un enfant.

Je tournai mon regard vers Olivia. Bientôt les larmes auraient creusées ses joues ronde d'enfants. Et je les avais fait couler. Et je les ferais encore couler. Je continuai, parce que les mots coulaient seul, comme les larmes autrefois, dans un long chuchotement rauque.

- Moi, je te dirai que certains jours tu souhaiteras mériter la mort parce que ta vie sera insupportable. Moi, je te dirai, Oli que le jour où tu auras assez souffert, tu comprendra que certains doivent mourir. Qu'un jour où la haine et le chagrin te donneront le goût de mourir toi-même, tu sauras que le temps est venu de tuer pour survivre...
Une vie pour une vie, dis-tu? Une vie pour un malheur, une vie pour une haine, une vie pour un rêve brisé, un espoir détruit, un avenir brulé, un âme volé, un coeur brisé. Une vie enlevée pour une vie détruite, sans issu...

Les mots s'teignirent d'eux-même et je me détournai. J'avais trop parler et ma gorge me brulait. Je fixai la cime des arbres dans le lointain, sans vouloir regarder Olivia.

**Dors, Oli**

Tu comprendras un jour, ajoutais-je pour moi-même. Même si j'aurais tout donné, en ce momment pour que ce jour n'arrive jamais.