Les huits Immortels
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Les huits Immortels

Huits Dieux et Déesses se font la guerre pour savoir qui est le plus fort...
 
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 Initiation(PV Iri)

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Olivia

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MessageSujet: Initiation(PV Iri)   Initiation(PV Iri) EmptyMar 27 Fév 2007 - 17:56

[T'es contente maintenant Iri ??? Tu vas arr^té de dire que je réponds pas à mes topic Razz]

Cela faisait des mois (enfin, deux ou trois) que Oli avait quitté le chateux cauchemardesque pour suivre Ellora, sa demi-soeur, le long des routes pour qu'elle lui transmette son savoir.Cela faisait des mois que Olivia en apprenait plus sur sa demi-soeur. Mais ce qu'elle apprenait lui plaisait-il vraimenet ? Même si de nombreux secret entourrait Iri, la jeune femme était plustôt ouverte à ses nombreuse questions et à ses impitoyables commentaires. Cela faisait des mois qu'Olivia avait tout abandonné pour elle, avait fait tout ce qu'elle lui avait demander même lorsque c'était au dessus de ses forces, avait tout fait, tout, pour elle.

La petite fille, sauta par dessus une souche en passa en dessous d'une branche basse. Cette fois-ci, Iri l'avait entrainner le long d'un chemin sinueux dans une épaisse forêt. La forêt, touffue et impraticable semblait hostile, mais pour Oli, c'était un terrain de jeu géant. Elle était enthousiasme à l'idée de retourné dans le royaume ou elle avait passé son enfance. Mais la mine sombre d'Iri lui arrachait le peu de joie qu'elle ressentait.

D'un autre coté, l'idée de retourné au royaumme de la terre ne l'enchantait pas trop : elle ne voulait pas revoir Kanaël. Cet homme qui avait été si gentil avec elle, lui parraissait maintenant comme un étranger depuis le discours d'Iri à son sujet. Remuant ses sombres pensées à l'interrieur d'elle même, la petite Olivia suivait Irisae de façon distante.

Finalement, Ellora la conduisit dans une clairière en pente douce. Au loin se tenait une petite maison entourré d'arbuste touffu. De la fumée sortait de la cheminée en brique. Le toit de chaume donnait l'évidence que les habitant n'était gère riche. Dans la lumière dessendante du soleil, on pouvait appercevoir quelques moutons en trains de brouté machinalement l'herbe dans un enclos. PLus loin, un large champs de blé remplissait toute la portion ouest de la clairrière. La ferme était isolé. Une petite route délabré, de toute évidence peu empruté, était le seul lien avec le monde extérieur.

Olivia reconnue tout de suite les lieux. Sans même réfléchir, elle recula jusqu'a ce que son dos butte contre un arbre. Elle avait espéré le long de son voyage avec Iri qu'elle pourrait définitivement faire une croix sur son passé. Avec le temps qui passait, elle était de moins en moins capable de se remémoré les traits de ses beaux-parents. Olivia pensait qu'elle pourrait enfin tout oublier et repartir à zero avec Iri, mais il avait fallu qu'elle l'emmêne ici, devant cette maison pour gaché cette espoir impossible.

Alors, une foule de questions embrasa la tête de la jeune fille. Pourquoi Iri l'avait-elle rammené ici ? Avait-elle tellement décu Ellora que celle-ci avait décidé de la renvoyé chez ses parents adoptif ? Q'avait-elle fait de mal ?

D'un teint pâle et d'une voix qui ne fut qu'un murmure, Olivia dit :

- On ne devrait pas être ici, je ne veux pas les revoirs, jamais ...

(hihi, à toi et fait vite !!!!)
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Irisae Ellora
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MessageSujet: Re: Initiation(PV Iri)   Initiation(PV Iri) EmptyJeu 29 Mar 2007 - 18:58

Trois mois presque je formais Olivia. Trois moi pendant lesquels la guilde avait du se débrouiller sans mois, pendant lesquels j’avais été loin de Dana, ne pouvant communiquer que de temps à autre, par télépathie.
C’était maintenant, aujourd’hui, que j’allais savoir si j’avais eut tort ou raison de fonder mes espoirs sur cette petite fille. Si elle réussissait cette épreuve, elle serait prête à entrer dans la guilde. Si elle l’échouait, alors, sans doute, elle ne serait jamais prête et je n’aurais plus d’autre choix que de...

Royaume de la terre. Je n’étais pas la bienvenue ici, je le sentais dans le murmure du vent, les branches des arbres qui accrochaient mes vêtements comme pour tenter de me retenir, comme s’il savait ce que je m’apprêtais à faire. Alors qu’Olivia se déplaçait avec tant d’aisance entre les ramures, les végétaux m’oppressaient. Je fus soulagée de déboucher finalement sur la clairière que je recherchais.
Devant moi, je vis Olivia se figer et reculer précipitamment. Elle avait aussitôt reconnut la miteuse chaumière devant nous. Doucement, je m’approchai derrière elle et poser la main sur son épaule. Elle tourna vers moi un regard effaré, incertain... Plusieurs émotions contradictoires tourbillonnaient dans ses yeux marron. Je sentis mon coeur battre plus vite, malgré moi. Le moment de vérité. Qu’elle réussisse... faites qu’elle réussisse. Il fallait avant tout que je trouve les bons mots. Je les choisit avec soin, chacun passant lentement de mon esprit au sien ...
** Olivia... je suis fière de toi. Tu n’es plus la petite fille vivant dans son monde d’illusions et de mensonges que j’ai rencontré il y a trois mois. Tu as changé, tu as beaucoup appris. Tu maîtrises beaucoup mieux tes pouvoirs, et surtout, tu as compris la vérité. **

Mes yeux étaient ancrés dans les siens, le lien entre nous était tangible, presque palpable de force. Rien ne pouvait, rien ne devait le briser.

** Tu as compris que certains qui disaient veiller sur toi, comme Kanaël, étaient des êtres fourbes. Tu as compris que ceux qui disaient avoir agit contre leur volonté, regretter le passé, comme Maya, étaient des êtres lâches...
Maintenant, tu es prête à recommencer une autre vie, loin des mensonges, une vie dure, mais une vie vrai. Oui, Oli, tu es enfin prête. J’ai confiance en toi, et si tu le souhaites, tu pourras entrer dans la guilde du faucon noir...**

Je me tus, donnant plus de poids aux derniers mots. Comprenait-elle tout ce que cela impliquait? Le réalisait-elle seulement? Non, certainement pas, et c’était mieux ainsi.

**Si tu veux réellement entrer dans la guilde, toutefois, il te reste encore une dernière vérité à découvrir. Il faut d’abord effacer le passé, pour réellement repartir à nouveau. L’oublier ne suffit pas, il trouvera toujours un moyen de revenir te hanter.
Es-tu prête à surmonter cette épreuve, Olivia? **

Dans la forêt, tout s’était tu. Silence de mort. Les arbres retenaient leur souffle, attendant la réponse de cette petite fille de la terre
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MessageSujet: Re: Initiation(PV Iri)   Initiation(PV Iri) EmptyVen 18 Mai 2007 - 9:27

Oli ne comprenait pas ... Que lui demandait Iri au juste. Éffacer le passé, le réduire à néant ?

Elle se doutait depuis bien longtemps que d'oublier son passé ne suffirait pas pour repartir sa nouvelle vie, alors que devait-elle faire ? Le détruire ? Le détruire ...

Un éclat bleuté passa dans les yeux d'Olivia, signe de tous les émotions qui se disputait en elle. Trop d'émotion, trop pour une petite fille de sept ? huit ? neuf ans ? Elle ne le savais même plus. Ses trois mois passé avec sa demi-soeur lui avait parru comme tout une vie, comme si soudaint son passé s'était confondut avec une autre personne, une autre qu'elle. Ça ne faisait que trois mois, et pourtant, Olivia avait l'impression qu'elle ne vivait que depuis se temps.

Elle jeta un regard confu vers la maison qui l'avait vue grandir. Elle le devinait, ou plutôt savait, que ses parents se préparaient à dormir. Ils devaient sûrement discuté de choses sans importances, tout en se remémorant des souvenirs du passé. Anciennement, Olivia adorait les écouter parler pendant des heures. Ils parlaient de leurs rencontre, de comment ils étaient tombés amoureux l'un de l'autre et aussi de petites annecdotes de leurs enfance. Olivia se souvenait égualement des calins de sa mère lorsqu'elle la bordait, ou encore de l'amour que lui portait son père, sa fierté lorsuq'elle réussissait quelques chose de nouveaux. Les bon petites plats que lui préparait sa mère, la joie qu'elles éprouvaient ensemble, les soiré près du feu, les soirés de tempète qu'elle passé blotti dans le coup de sa mère. Elle se souvenait aussi de ...

Olivia chassa d'un coup de tête agacé les doux souvenir de ses parent adoptif, il était du passé, seulement du passé, et on ne vit pas dans le passé.

- Qu'attens-tu de moi, demi-soeur ?

Son regard allait d'Iri à la chaumière pour revenir à Iri. Oli avait une petite idée de ce qu'allait lui demander iri, mais elle espérait se tromper ...
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MessageSujet: Re: Initiation(PV Iri)   Initiation(PV Iri) EmptyLun 11 Juin 2007 - 19:33

(musique:requiem for a dream)

Voilà...

« Qu’attends-tu de moi, demi-soeur? »

*Du calme... du calme, elle en est capable*

Je fis glissai le sac que je portais sur l’épaule et qui contenait nos maigres effets devant moi. J’espérai que Oli ne s’apercevrait pas du tremblement léger mais certain de mes mains. J’eu soudainement une envie irrépressible de fuir, partir en courant et l’entraîner, elle, très loin d’ici. Je sentais comme des caresses légères à l’orée de mon esprit les doux souvenirs d’enfance qui défilaient dans sa petite tête de fillette... Je ne pus retenir un froncement de sourcil, que crispation légère du coin de ma bouche pour retenir l’émotion... Mais qu’est-ce que je m’apprêtais à faire? Cette petite fille devant moi ne pourrait plus jamais se rappeler ces bons moments d’enfance sans souffrir le regret et la culpabilité. J’allais la plonger dans le mal le plus total et le plus noir... pourquoi? Par les dieux, pourquoi?

Non! Je pris conscience du regard marron traversé d’insolites éclairs bleutés fixé sur moi. Il ne me jugeait pas, pas encore... Non, je ne devais pas laisser mes pensées suivre ce chemin... Suivre la route que je m’étais tracée, dont j’avais décidé moi-même. Je ne pouvais pas empêcher qu’elle souffre... elle n’aurait jamais posé un regard aussi chargé de confiance sur moi si elle avait su combien j’étais impuissante face aux douleurs que la vie lui apporterait. Pour ce regard, je devais faire ce que je pouvais pour la préparer, la munir contre les traîtrises de la vie. Je savais mieux que quiconque combien je me trompais si je l’envoyais sur le chemin du bien en croyant la sauver. C’était bien sur ce chemin qu’on était le plus vulnérable...
Ce n’était pas la solution... il n’y avait qu’une solution que je connaisse: Provoquer le malheur pour s’en protéger.
Être celui qui blesse pour ne pas être blessé. La souffrance des autres contre bouclier contre la sienne.

Une inspiration, puis deux... éviter ce regard, les prononcer, prononcer les mots, une dernière fois. Ne pas penser à après. Ce n’est qu’un moment à passer. Un mauvais moment mais il faut le passer, maintenant.
Maintenant!

Je me baissai pour être au niveau de ma soeur. Je relevai les yeux que j’avais gardés à terre et ils se fixèrent dans ceux d’Olivia. Ma main droite s’éleva et l’appuyai sur sa tempe gauche. Mon autre main se posa sur sa poitrine, tiède contre ma paume froide comme celle d’une statue. Je sentais son petit coeur battre contre ma paume, nos regards étaient solidement entremêlés. Les mots passèrent facilement, sans devoir être formulés, pures sensations. Je sentais les images se formé dans l’esprit d’Olivia au même rythme qu’elles naissaient dans le mien :

« À l’intérieur, le couple s’apprêtait à se mettre au lit, après avoir fini la vaisselle. Ils vivaient paisiblement et confortablement, depuis qu’ils avaient vendus la petite Olivia. Elle leur avait rapporté une jolie somme d’argent. Le dieu de la terre avait bien payé... Bien sur, elle leur avait un peu manqué au début, après tout, ils s’étaient habitués à sa présence. Mais ils l’avaient vite oublié... ce n’était pas comme s’ils avaient puis véritablement l’aimer, comme si elle était la chair de leur chair : elle n’était, au fond, qu’une enfant adoptée, trouvée. Ils avaient eut la bonté de la prendre pour quelques années sous leur toit, il n’était que bien naturel qu’elle leur rapporta un peu d’argent. Elle avait quand même été beaucoup de travail sans jamais pouvoir, hélas!, leur donner la satisfaction d’une véritable fille. D’ailleurs, ce problème serait vite réglé : la femme était enceinte. Ils allaient enfin avoir un enfant de leur sang, un vrai! Celui-là aurait vite fait d’éclipser le souvenir de l’autre petite bâtarde... »

Les yeux d’Olivia tournaient lentement du brun ou bleu. Le lien qui nous unissait me transmettait ses sentiments comme s’ils étaient les miens. Il semblait que nos deux coeurs avaient ralentis jusqu’à leur ultime limite. Mais le lien ne devait pas être brisé maintenant, il me restait encore bien des souvenirs à transmettre Olivia.

« L’odeur de la chair hantée par la peur... des halètements, des gémissements, des murmures... de supplications, des insultes, des hurlements, des cris, encore des cris... puis des râles, à peine des souffles... Le silence, soudain. Le silence, à jamais.
Des regards... des regards terrifiés, des regards suppliants, embués de larmes, des regards souffrant. Des regards fixes, fixes comme ceux des cadavres... Des sensations... sensations de l’esprit sur le seuil de la mort, sensation d’une lame glissant dans la chair, brisant la résistance et s’enfonçant aisément, sous la peau tendre ou ridée... Sensation du sang perlant sur la peau, trempant le sol, les vêtements, abreuvant la terre... Sensation de puissance, d’euphorie, joie froide de la vengeance goût du sang sur la langue, les lèvres... Délivrance de l’esprit, paix... silence, silence éternel.
»
Sans briser le lien, je retirai doucement ma main droite de sa tempe et la glissai dans mon sac, entre nous. Je saisis l’arme dure et glacé, à l’intérieur, et la sortit. Le fil acéré m’entailla légèrement l’index, donnant à la lame son baptême de sang. Je glissai le manche de l’arme dans la petite main d’Olivia. Il s’y encastrait parfaitement, comme s’il avait été fait pour elle... son premier poignard. La lame jetait des reflets hypnotisant dans la clarté de la lune montant au dessus des arbres... le vent faisait à peine bruire le feuillage. Les yeux d’Olivia étaient d’un bleu pur, électrique, son coeur battait à toute vitesse.
J’avais scellé tant de destin auparavant... mais celui-là... Celui-là, c’était le destin d’Olivia, de ma demi-soeur.

*je le fais pour toi, Oli. Si tu peux comprendre ça un jour, je ne regretterai pas.*

Je me penchai à son oreille et chuchotai autant vocalement que mentalement :

« Il est l’heure de tuer Oli. Écoute le sang. Tue ton passé... rejoins-moi, rejoins nous... »

Je me détachai brusquement, rompant le charme, laissant son coeur affolé la guider. Je me reculai dans l’ombre des arbres pour observer la scène, tachant d’ignorer le noeud dans ma gorge...
C’était à elle.
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MessageSujet: Re: Initiation(PV Iri)   Initiation(PV Iri) EmptyLun 18 Juin 2007 - 20:00

( Shocked pauvre Oli ... Obliger de tuer les dernières personnes qu'elle aime ... c'est triste)

(musique : All of them, King Arthur)

Oli leva les yeux vers sa demi-soeur. Elle fit glisser son sac par terre et se mit à la hauteur d'Oli. Elle posa sa main sur sa tempe, l'autre sur sa poitrine. C'est alors qu'un sentiment déferla en Oli, S'était la première fois qu'elle se sentait en parfaites fusion avec Iri. Les deux soeur ne formaient plus qu'un seul et unique esprit. Oli allait presque s'en réjouir lorsqu'elle les premières volonté d'Iri simposèrent dans son esprit. Oli les barra autant qu'elle pu, les regetant comme on regette une idée farfelue. Mais les pensé d'Iri s'imposait de plus en plus dans le crane d'Olivia. Les barrières que celle-ci s'était formé peinait a rejeté l'assaut mental D'Iri. Oli s'épuisa de plus en plus. Avec l'épuisement vint la douleur. Une douleur à vous fendre le crane. Oli savait qu'elle n'était pas de taille contre Iri, mais elle ne pouvait accepté les pensé que lui envoyait sa demi-soeur. Non, ses parents n'étaient pas comme ça, elle était leur fille et ils l'aimaient profondément. Ses souvenirs étaient là, preuve de leurs amour pour elle, Oli était partie de son plein gré pour le royaume de la terre. Se sentant au dessus de l'épuisement, à l'approche de perdre consience. Oli tenta une dernière fois de résisté à Iri, puis, avec une regard remplie de toute les reproche du monde elle céda. Ses barrières cédèrent les unes derrière les autres. Elle n'était pas de taille. Une petite fille d'a peine 8 ans et des poussières ne pouvait tenir tête à la Grande irisae, elle le savait jusqu'au plus profond de son âme, et elle se le reprochait continuellement.

Lee pensés d'Iri arrivèrent telle une armée sanguinaire dans la tête d'Oli. Elles détruisirent tout sur leurs passage. Les souvenir se retrouvèremt transformé, d'autre simplement suprimer. L'amour que ses parents adoptif lui accordait fut remplacé par de l'enthipatie glaciale. Les bons pic-nique familiale furent remplacé par une Oli seule, regardant le maigre contenut de pain reci que conportait son assiète, alors qu'assit un peu plus loin, elle voyaient ses parents déguster de grands mets fabuleux et succulant. Ses calin avec sa mère furent remplacé par des fessé violante, sans scrupule. Oli ne savait plus où était la vériter. Tout avait été transformé, métamorphosé. Méconnaissable. Elle versa une larme de tristesse à la vue de ses souvenirs envolé, puis une autre coula, une de rage cette fois. Les yeux d'Oli devinrent totalemet bleu. La rage était palpable dans son regard.

Vint par la suite la deuxième vague de sentiment, le sang, la mort, la chair. Oli ne savait plus ou donner de la tête. Ce n'était pas seulement des sentiments que lui transmettait Iri, mais aussi des images, des scènes de la vie d'Ellora, de ses meurtres. Le sang ... ce liquide vitale vivant en tout être humain, le plaisir de le voir coulé et avec lui, voir coulé la vie de cette personne. L'odeur de la peur, lasueur perlant sur le frond de la victimes lorsque celle-ci sent la mort tout près. Cette sueur rance s'échapant d'un corp à l'agonie. Le dernier souffle d'une personne, son dernier signe de vie. Abréger les souffrances de la vie d'une personnes, lui donner une mort digne de se nom, une mort dont tout le monde se souviendrai, une mort qui rendrai Iri fière d'elle, une mort causer par la guilde du Faucon noir ! Causé par nul autre que Olivia !

Sa mentor lui donna son arme. Son premier poignard. À la fois jeune et meurtrier, comme elle. Leus yeux d'Olivia était maintenant bleu comme jamais ils ne l'avait été. Un bleu profond. Ses pupilles étaient dilaté au maximum. Ellora enleva Oli de son emprise, la libérant de ce tourmant. Elle ne lui laissait pas la choix. Elle devait lui obéir. Elle devait brillé à ses yeux. Elle devait accomplir ce qu'elle voulait. Elle en serait capable. Elle le savait. Elle préférait mourrir plutôt que je décoir Iri. Elle fit un pas en arrière, puis deux. Elle n'avait pas vraiment conscience de ce qu'elle faisait. Guidée par le goût du sang, guidée par la vangeance, elle se retourna puis avança vers la maison de son enfance. Maison où elle avait vécu tant de souffrance. Maison de cauchemars. Elle avança.
Elle.
Olivia Magdalie.

Savait-elle seulement ce qu'elle faisait, en avait-elle seulement consience ? Consience qu'en agissant ainsi, elle s'enfonçait dans le mal ? Elle céllait un destin qui n'aurais jamais dû être le siens ? Le savait-elle ? Non, bien spur que non car sinon, rien de ce qui suis ne se serait passé. Jamais cette nuit n'aurais existé. Jamais Oli n'aurais été la même.

D'un pas assuré, les cheveux soufflé par le vents. Les yeux tellement bleu qu'ils en devenaient irréels, Olivia entra dans sa maison, dans son ancienne maison. Elle ouvrit lentement la porte. Les charnières, comme si elles devinaient ce qui allait se produire, firent un grincement de fin du monde. Oli pesta interrieurement. Malgré la noirceur causé pas les bougies éteintent, Oli marchait droit. Elle connaissait cette maison comme ça poche. Elle devina tout de suite qu'ils se trouvait au premier. Elle posa son pied sur la première marche. Elle sauta la deuxième par souvenir qu'elle craquait. Elle continua son assantion, écoutant chaque bruit. À la demi de l'escalier, elle se figea. La jeune fille pouvait entendre le murmure de conversation. De là ou elle était, elle en comprenait chaque mots.

- Chéri, j'ai commencé a tisser les dras pour le nouveau venu. Selon ce que m'a dit le guérriseur, se sera une fille. Tu te rends compte ? Une petite fille ... Je suis tellement heureuse, après tant d'espoir d'avoir un enfant, nous avons enfin réaliser notre rêve. Le ciel nous est venu en aide.
- Tu me comble chère femme. Une petite fille dis-tu ? Une merveilleuse petite fille qui se ointera le bout du nez dans un mois ou deux. Comment l'appelerons-nous ?


Olivia ferma les yeux n'osant croire à se qu'elle entendait. Sa belle mère n'avait jamais pu lui donner une petite soeur. Alors que maintenant qu'elle était partie, sa mère adoptive était enceinte! Les pensé que Iri lui avait imposer lui revinre en mémoire. La femme est enceinte. C'était donc vrai. Comment aurait-elle pu douter de l'immaculer parole d'Ellora. Oli continua a monter l'Escalier. Il y avait trois pièces au premier. La chambre de ses "parents", la sienne et une salle d'eau. En se dirigeant toujours sans bruit vers son but, elle passa un regard dans sa chambre. Ce qu'elle y vit la fit frémir. Des couleurs pastel de rose et de bleu avaient remplacé le vert. L'edredon qui était broder à son nom avait été remplacer par une couchette fleurie. Ses dessins d'enfants avaient été décoler du mur, laissant place à une sobre table a langer. Cette chambre n'était plus la sienne, ce n'était plus celle d'Olivia. Cette maison n'était plus la sienne. Elle n'y était plus la bienvenue, elle n'y avait jamais été la bienvenue.

Plus résolu que jamais, elle ressera la prise sur son poignard. Elle avait prit une désision. Iri serait fière d'elle, elle ne reculerait devant rien. Lentement, d'une démarcha pourtant résolut, elle se dirigea vers la porte. La lumière qui s'échapait du dessous de la porte étirait son ombre et la rendait présage de cauchemars. Elle tendit sa main libre vers la poigné, entrouvit légèrement la porte, y jeta un regard à l'interieur. Sur le lit non loin, ce qui avait été ses parents s'enlaçait avec amour. Le mari flattait le ventre de sa femme, flattait sa soeur. Celle que Oli ne voudrait jamais. Ne voirait jamais.
Jamais.

La surprise se peignit sur le visage de ses parents lorsqu'elle entra dans la pièce. Ses yeux étaient tellement bleu qu'il en devenait opalescent. Les traits défformer par la rage, lame bien en vue, Oli se dirigea vers ses parents. Son père tira vivement sa femme derrière elle, la protégent de son corps. Il balbutia quelques mots, quelques formules supliantes, mais la rage d'Oli était trop grande, elle en avait perdu la raison. Son père chercha sans trouver une arme a portée. La femme, les yeux exorbités d'horreur tentait en vain de raisonner Oli. Celle-ci se raprocha encore plus. Faisant appel à son pourvoir sur la végétation, des lianes arrivèrent dans la chambre. Elles venaient d'un peu partout, du plancher, plafond, fenêntres. Elle ligotère solidement les malheureux.

La peur, l'odeur de la peur. La sueur rance s'échapant de leurs corps. La peur ...

Oli s'approcha de son père qu'elle avait solidement, par la force de sa pensé, éloigner de sa bien aimée. La petite fille, lui souffla quelques mots a l'orreille. Elle en fit le tour, puis joua pendant quelques instant avec son poignard. Elle aprocha le fil acéré près de la poitrine de son père. Enlevant son vêtement, elle dessina une estafilade brulande sur la chair de cet être anciennement bien aimé. Elle en fit une autre, un peu plus haut, une plus épaisse, son beau père hurla.

Les cris, encore les cris, les suplications, les râles, les insulte, la douleur dans les yeux ...Des sensations... sensations de l’esprit sur le seuil de la mort, sensation d’une lame glissant dans la chair, brisant la résistance et s’enfonçant aisément, sous la peau tendre ou ridée... Sensation du sang perlant sur la peau, trempant le sol, les vêtements, abreuvant la terre...

La fille qu'il avait élever, celle qu'il avait aimer, celle qu'il avait chéri, approcha encore un peu plus larme. Cette fois-ci, Oli rempli son coup de force. Avec toute la colère qu'elle ressentait pour cet être inferieur elle frappa avec violence l'homme a l'abdomen, sur son flan. Elle recommença, encore et encore. Jusqu'a ce que l'homme donne son dernier souffle de vie.

Le dernier souffle, puis, le silence, le silence éternel

Son père était mort, mais Oli était trop aveuglé par sa haine pour en sortir un moindre sentiment. Ele se tourna vers sa mère qui pleurait à en fendre l'âme. Elle savait que son heure serait venue. Elle serait assasiner par nul autre que sa fille adoptive, celle qu'elle avait élever comme seule une mère pouvait l'élever. Étroitement enserré par le lein de lianes, la peau transpercé par les épines, elle n'osa même pas regarder son mari. Il était mort, elle le savait. Il était mort ... et c'était à son tour. Elle pria seulement pour que sa mort soit rapide.

Oli s'approcha, arme devant. La lame était maintenant vermillon, le sang y avait déjà couler, abondament, mais son travail n'était pas finit. Elle regarda sa fausse mère dans les yeux, une dernière fois.

- Je sais maintenant que tu ne m'as jamais aimée, mère indigne. Ce que je fait se soir, c'est pour le bien de l'enfant que tu portes, jamais il ne connaîtra la desception d'Avoir une mère telle que toi.

Et sans que la femme puisse répondre, Olivia lui trancha la gorge. Le sang se répandit tout autour d'elle.

Sensation de puissance, d’euphorie, joie froide de la vengeance goût du sang sur la langue, les lèvres... Délivrance de l’esprit, paix... silence, silence éternel.

La colère d'Iri tomba avec ses dernières pensé. Elle se retourna, regardant autour d'elle. Rien. Le silence. Rien que du silence. Oli regarde bêtement le sang qui constellait ses mains, qui tachait ses vêtements. Ses menbres se mirent à trembler comme une feuille. Sa lame tomba au sol avec un bruit métallique qui défia le silence. Elle se regarda dans la glace toute proche. Son image la fit sursauté. Parsemer de sang, elle avait les trais tirer. Ses yeux s'obscursiçait lentement, signe de la fin de la transse. Reprenant soudainement ses esprits, elle se retourna. Ce qu'elle vit lui fit mal au coeur. Un goût de bile anvahis sa bouche. Son père, se tenait suspendu à des ronces, le ventre broyer, mort. Sa mère se tenait un peu plus loin, la gorge déchirer, morte, comme son mari. Oli toucha le ventre de sa mère. Son ventre gonflé qui signifiait évidemment qu'elle était enceinte. Elle y toucha mais ne sentit rien, pas le petit signe de vie, rien. Sa soeur était morte, en même temps que sa mère et que son père. Ils étaient mort et rien ne pourrait y changer quoi que se soit.
Morts.

Une vague de remors immense parcourus Olivia. Comment avait-elle osé agir ainsi, comment avait-elle pu ? Elle regardait ses amins avec incrédulité. Comment avait-elle pu faire couler le sang, elle ! Elle qui d'habitude était si bonne, elle qui n'arrivait même pas a écraser une mouche. Elle avait tuer se soir, à trois reprise. Elle ne pourrait jamais se le pardonner.

Elle recroisa le regard de la glace. Ses yeux étaient encore bleu. Cependant, des larmes innondait son visage. La glace, imperturbable, lui lança son reflet, dans toute sa vérité. Elle ressemblait tant à Maya, sa propre mère. Elle avait les mêmes cheveux bruns, le même visage, seul les yeux étaient différents. Oli prit le mirroir dans ses mains, et d'un geste rageur, elle l'envoya au sol, là ou il se brisa en mille miète. Non, c'était impossible, elle ne ressemblait pas a maya, elle n'en était pas digne. Celle-ci avait tuer certes, mais c'était pour punir un homme de sa cruelle lacheté. Oli, elle, avait tuer pour rien, par simple impulsion, pour prouver qu'elle était capable, mais le prouver à qui ? à Irisae Ellora.

Se nom lui revint en mémoire et les images de ce qui s'était passé quelques heures plus tôt aussi. Elle l'avait manipuler, elle l'avait trahisé. Iri l'avait trahis ! Sa demi soeur ... celle en qui elle posait toute sa confiance, celle en qui elle avait l'entière fidélité. Iri avait profiter d'elle, elle avait tout manigancer. C'était elle la coupable. C'était de SA faute si son beau père, sa belle-mère, sa mère, et sa belle soeure étaient morts. Olivia jura tout bas. Iri allait payer pour sa traitrise ...

La rage de la jeune fille changea de cible, refusant de s'éteindre.

D'un geste rageur, Olivia ramassa son poignard qui gisait dans la mare de sang grandissante. Refusant de ressembler à Maya, son idole, la seule qui ne l'avait pas trahis, elle saisit une mèches de ses cheveux et la coupa prestement. Elle en prit une autre, et une autre. Elle répéta l'opération jusqu'a ce que ses longs cheveux se retouvent au sol taché. De ses longs cheveux bruns et brillant, ne restait que quelques mèches couper à de longueur différent ici et là. Ainsi, songea-t-elle, Je ne lui ressemblerai plus. Et elle laissa tomber son poignard au sol.
Définitivement.

Trop épuisée pour affronté Iri se soir là, Oli jeta un dernier regard sur son ancienne maison. Sur ses anciens parents. Elle murmura silencieusement une prière de pardon puis, haissant Irisae Ellora de toutes ses forces, elle utilisa ce qui lui resta d'énergie pour se téléporter vers un endroit connu d'elle seule. Elle choisit la fuite, elle voulait repartir a zéro. Vivre seule désormais, loin des êtres auquel elle risquait de se lier, car ils finissaient toujours par lui faire mal. C'en était finit. Déversant encore plus de larmes, Olivia se téléporta. Ses sanglots furent remplacer par le silence.
Le silence.

La pièce était maintenant vide, plus un souffle. Rien ne restait, que deux corps meurtris, une marre de sang, un poignard et enfin, des mèches vestiges de longs cheveux bruns et brillants. La petit filles auquel ils apartenaient étair ien loin d'ici à l'eur qu'il était.

PLus rien n'éxistait dans la maison, que le silence ...

(Voila ! J'en ai rocher un bout !!!!)
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