Citation^^

(Je rêve...o.o je suis mordératrice, là!)

"Mon ami(e) n'ait pas peur,
nous irons vivre libre,
dans un pays sauvage,
et nos seuls armes seront,
l'amour et le courage..."

"Cette nuit-là, c'était la pleine lune. Je me sentait seul. Je savais que personne ne viendrait malgré mes pleurs, alros j'espérait disparaître dans le noir... mais j'étais en pleine lumière. C'était la lune qui m'éclairait. Je l'ai détestée pour ça. Je lui en ai vraiment voulu."

Encore de Full Moon, c'est beaucoup trop bien ^^

Oh Iri tu connais M ? J'adore cette chanson, mais impossible de la trouver... C'est quoi le titre ?

"Sur cette terre débordante de chansons je ne pourrais pas faire abstraction des sons. Je deviendrais fou. Est-ce... un péché que de tenir à une chose plus qu'à sa vie ? Dois-je être obligatoirement blâmé pour ça ? Est-ce que... je me trompe ?"

(Tu parles de ce que j'ai mis? parce que je l'ai entendu quelque fois à la radio et je l'aimais beaucoup, mais je sais vraiment pas comment elle s'apelle-___- En fait, c'est ce qui arrive avec la plupart des chansons que j'aime bien... )

"Un enfant demandera:
-Pourquoi y a-til un monde?
Un adulte demandera:
-Quelle direction prendra le monde? Quelle sera sa fin?"

"A St Petersbourg
On a perdu la guerre
Pas celle des canons
Mais celle des idées..."

(Ah, Léo, j'ai trouvé: le titre de la chanson c'est "Est-ce que tu aimes?" De M et Arthur H)
" Les raisonnables ont durés. Les passionnés ont vécus."

"Parce que c'était lui. Parce que c'était moi." (Montaigne parlant de son amitié avec la Boétie)

(alors... ouvrons notre recueil de texte et jeprends un poème au hasard... Il y en a des beau)

"Et je rêve d'aller comme allaient les ancêtres:
J'entends pleurer en moi les grands espaces blancs,
Qu'ils parcouraient, nimbés de souffles d'ouragan,
Et j'abhorre comme eux la contrainte des maîtres..."

"Ciel lourd
Que reste-t'il de nos amours
Vous la terre
Toi les bois
Que reste-t'il de nos émois
Un brin de paille à l'orée du bois
Un chant triste au fond des cours"

Serge Féchet, tiré de "Les Jardins Oubliés"... Valeur sentimentale ^^)

Bon ça c'est un poème pour Hoshi-kun que j'ai fat. Après réfléxions j'ai finalement choisi de ne pas vraiment mettre de fin, parce que je sais pas encore comment le faire évolué...

"Tu n'es pas arrivé au bon endroit,
Pourtant il y avait une place pour toi...
Alors, qu'est-ce qui ne marchait pas ?
Pourquoi ça s'est passé comme ça ?

Tu t'es atatché à tes propres chaînes
Tu te débats à t'en arracher les ailes,
Enfermé là où personne ne t'aime
Pourquoi n'entends-tu pas cet appel ?

Tu sais, cette petite voix,
Tout au fond de soit
Qui hurle mais que l'on écoute pas
Elle est pourtant bien là...

Et peu importe toutes ces larmes
Qui s'écoulent en vain
Car tu livres une bataille sans fin
Pour laquelle tu n'as aucune arme..."

Hoshi : Quoi ? Tu as écris ça pour moi ? *larme de joie*
Daph' : Mais oui ! ^^
Ezech' : Waw, il est trop kawaii !!
Hoshi : Mais... heu... Non... Je voulais dire que... en fait... Ce poème est null ! Je ne suis pas attaché ! J'aime cette vie ! ...
Daph' : Voyons tu n'as pas à te cacher ^^
Hoshi : Mais je suis vraiment heureux...
Daph' : Laisse tomber, c'est moi qui t'es créer...
Hoshi : Bon peut-être, mais les autres...
Ezech' : Moi j'ai rien entendu en tout cas... Et toi Kotori ?
Kotori : Rien de tout ^^
Machi : Moi je m'en fous.
Daph' : Tu vois ?
Hoshi : OUUUUUUUUUIIIIIIIIIN

Bon je vais m'arrêter là parce qu'Hoshi ce tape encore une déprime... Mais c'est pas de sa faute s'il est pas crédible en méchant ^^"

"Le poête est tel le Prince des nuées,
Qui hante la tempête et se rit de l'arché,
Exilé au sol, au millieu des huées,
Ses ailes de géant l'epèchent de marcher."

(L'albatros, de Baudelaire, bien sûr^^)

"Ja, ich baue ein Häuschen dir,
Hat keine Fenster, kein Tür,
Innen wird es dunkel sein,
Dringt überhaupt kein Licht innein."

( J'avoue que j'ai pas tout compris )

"Le jour est mots et rage,
Il ordre, terre et or,
Il est les philosophes dans leur cités,
les cartographes sur leurs terres en friche,
Il est les routes et les jalons,
Il est panique, rire et sobriété,
Il est le blanc et toute les choses énumérés,
Il est la chair, il est la revanche, il est visibilité.

La nuit est bleu et noir,
Elle est silence, poésie et amour,
Elle est les danseurs dans leur forêt d'ossements,¨
Elle est toutes les choses qui se transforment,
Elle est destin, elle est liberté
Elle est masques, argent et ambiguïté,
Elle est le sang, elle est le pardon,
Elle est l'invisible musique de l'instinct."
(Abarat, par Clive Barker. J'ai bien aimé le livre mais j'adooooooooooore cette citation )

(Je croyais t'avoir donné la traduc sur Eden )

"Voir un univers dans un grain de sable et un paradis dans une fleur sauvage. Tenir l’infini dans la paume de la main et l’éternité dans une heure."

"Je crois que certains miracles ont un prix mais qu'ils ne perdent pas leur valeur pour autant."

"Girls can wear jeans and cut their hair short, wear shirts and boots, because it's OK to be a boy,
but for a boy to look like a girl is degrading, because you think that being a girl is degrading.
But secretly you'd love to know what it's like, wouldn't you? What it feels like for a girl ?"

(Ah, si c'est la même, oui^^)

"J'étais au lycée de Comodo Rivadavia. C'est la ville où j'ai grandi. Ce jour-là, les militaires du coup d'état nous ont rassemblés dans la cour. Ils ont fait pareil dans tous les lycées d'Argentine, il paraît. J'en sais rien. Moi, j'étais à Rivadavia.
Ils ont demandé à tout le monde de relever les jambes des pantalons. Pour voir les genoux rapés. Si on avait un genou rapé, cela signifiait que l'on s'était entraîné à tirer au fusil. Et donc, que l'on avait rejoint le camp des terrosristes. Traduisez: des opposants à leur coup d'état. Conneries! Ils ont descendus mon pote Pablo. D'une balle dans la nuque. Parce qu'il avait un genou rapé.
Pablo avait joué avec son chien tout le dimanche. Une genoux par terre parce que le chien n'est pas très grand. Moi, ils m'ont laissé tranqueille. J'en ai tué beaucoup, ensuite. En souvenir de Pablo. Debout, comme j'aime tiré depuis le lycée. Depuis toujours..."

"Je me disais que la pluie, c’était les larmes des anges…"

"Si vous saviez comme ils se foutent
de nos injures
Ils préfèrent l'amour, surtout le vrai
À nos murmures"

"Mais ils ne voient pas la catastrophe,
ils ne voient pas la fin,
lorsque le métoéorite s'écrasera sur terre,
Ils ne voient que la trainée magnifique, fambloyante..."

"Faire semblant qu'on n' a rien dans le coeur
Dire ça va même quand ça ne va pas
Chanter pour ne pas montrer sa peur
C'est beaucoup mieux c'est beaucoup mieux comme ça"

"Dommage que nous n'ayons qu'une nuit pour tout nous dire."

"[...] et protéger,
tout ce qui n'est pas utile,
mais essentiel..."

"Ils s'aiment comme des enfants
Comme avant le menaces et les grands tourments
Et si tout doit sauter
S'écrouler sous nos pieds
Laissons-les, laissons-les, laissons-les
Laissons-les s'aimer"

"Pardonne-moi,mais tu es tout ce que j'ai
et quand tu m'en veux, c'est le monde entier qui me tourne le dos."