Parce que j'aime ecrire...

à vrais dire je m'ennuie, alors que faire, marre de se tourner les pousses marre de lire les nouvelle réponses... C'est alors qu'elle s'anime en moi, mes mains ont envien de faire qu'un avec elle et tappe des mots sans cesse formant petit à petit une histoire... je ne savait pas où ecrire alorsw je me suis dit que peut etre quelqu'un d'autre ici lirait ce que j'écris....;

Texte 1 :


Je sens le vent sur mon visage, il fait froid, j'entend des prière, des pleures des chagrin, couché dans un lit noir, je regarde éternellement les étoile. Quel spectacle magnifique, oh une étoile filante, je fait le veux que le monde vive à jamais dans le bonheure et la paix. J'ai de plus en plus froid et mes membres sont comme paralisé, et j'entend toujours pleuré...

Tien la voix de Don Andiano, le pretre de San Miguel, que dit il? Des prieres... il prit demandant au seigneur d'emporter un etre cher en sont royaume. Oh seigneur que ne m'as tu offert, combien m'as tu aimé? ai je été digne une seul fois, de recevoir tant de compassion, ai je mérité ce que tu m'a offert. Je ne t'ai jamais trahis, je me souvien encore du jour de mon batheme, quand on me versa l'eau sur le front, je fit un petit sourire, ou le jour de ma premiere communion où pour la premiere fois je n'ai fait qu'un avec le corp du Christ, par le biais de l'ostie. Il est vrais que je me suis eloigné de toi tant de fois, mais sans vraiment vouloire te peiné.

Je vais prier moi aussi pour celui qui s'enva aujourd'hui... tien une rose... on vien de m'envoyer une rose.... j'entend les pleure de ma petite soeur serait ce d'elle que provient cette rose?

Je.. de la terre mais... pourquoi, qui m'envoi de la terre, mais on m'enterre... Non que faites vous ? ils ne m'entende pas non .... nooooooon!

texte 2 :


Il était une fois, il y a bien longtemps, dans un vieux royaume, un chateau, une citadelle, volant au dessu des terres et des océans, les murs de cristal, et au à la plus haute tour un ange d'or semblais y reigné en maître.

Pierre est né en Zahiniè, un pays au paysage magnifiquye essenciellement plaine et foret, les village de paysans parsemé dans les vallé, de magnifique lac d'azur, sintillant au soleille en éclat de diamant, balayé par une doux vent chaud, quelque rochers parci par là donnant un petit plus au paysage, bercer par le chant mélodieux des Atalah et Drimi, c'était un avre de paix dans un monde de guerre , un paradit caché loin des machines infernales de Tartar la ville mère de l'humanité. une ville sombre, polué, bruyante, surpeuplé, l'aire toxic et irrespirable, et les créature mutante qui la peuple...

Coooool, un psycopathe de plus sur ce forum XD. Sinon le deuxième texte est pas mal mais... Pourquoi y a que ça ? Y a matière à développer nan ?

On est peut-être sensés continuer?

héhé le but du jeu est de continuer l'histoire sans savoir le but ni le fil de l'histoire..

alors à Vos clavier héhé!

(je reconne l'histoire pour cohérence)

Il était une fois, il y a bien longtemps, dans un vieux royaume, un chateau, une citadelle, volant au dessu des terres et des océans, les murs de cristal, et au à la plus haute tour un ange d'or semblais y reigné en maître.

Pierre est né en Zahiniè, un pays au paysage magnifiquye essenciellement plaine et foret, les village de paysans parsemé dans les vallé, de magnifique lac d'azur, sintillant au soleille en éclat de diamant, balayé par une doux vent chaud, quelque rochers parci par là donnant un petit plus au paysage, bercer par le chant mélodieux des Atalah et Drimi, c'était un avre de paix dans un monde de guerre , un paradit caché loin des machines infernales de Tartar la ville mère de l'humanité. une ville sombre, polué, bruyante, surpeuplé, l'aire toxic et irrespirable, et les créature mutante qui la peuple...

Tartar... Ville de cauchemars et de fantasmes. On ne la connaissait que par les récits de certains voyageurs. Mais pouvait-on les croire ? Comment pouvait-on croire leurs histoires abracadabrantes, peuplées de créatures plus étranges les unes que les autres ?

En fait, Pierre comme les autres, faisaient semblant de ne pas y croire. Il n'y avait que les enfants pour pleurer quand un grand frère leur racontait ces choses effrayantes. Mais aucun d'entre eux ne pouvait retenir un frisson lorsqu'ils voyaient cette énorme masse noire se dresser à l'horizon...

À mesure que Pierre grandissait, Tartar perdait de son aura fantastique. Comment toutes ces légendes auraient-elles pus être vraies? Mais pas de son danger. Le berceau de sa race, et son dirigeant, contrôlait le monde, de ses kilomètres d'aciers et de béton. La paix de Zahiniè dérangeait...

Il avait onze ans lorsqu'il les vit pour la premìère fois. Non pas des monstres, ou des créatures d'outretombe, mais des hommes, simplement, vêtus de cuir blanc, montant un engin bruyant et inconnu. Ils se dirigaient vers le palais...

Ils se dirigaient vers le palais, aussi bruyant qu'une Horde de Grut, dans une fumée noire et noséabonde.

Le Palais était toute la grandeure de ces terres, il n'était ni d'or, ni de joyaux, ni même des plus beaux marbres, ce n'était que deux vieux moulins siamoix, sur la plus haute falaise et face à l'horizon, ses élices jamais ne s'arretaient car elles fournissaient en eau, par un ingénieux mécanisme, toute la contrée. Entouré pas de superbes jardins et potagers, reflettant les bonheurs simples dont jouissaient les vilageois.

Les gens étaient inquiet, ces machines n'avaient rien a faire dans cette contrée...

Il ressortirent quelques heures plus tard, pétaradant dans un boucan d'Enfer et Pierre eut l'impression que tout Zahinié relâchait sa respiration.

Mais les choses allaient pas en rester là... Quelques mois plus tard, ils revinrent, une deuxième fois, puis une troisième, et une quatrième. Enfin, deux ans après leur première apparition ils arrêtèrent soudainnement toutes leurs visites.
Ce fut à cette même époque que Pierre rencontra Léa.

Elle n'était pas très belle, sans être laide. Ni grande, ni petite. Ses yeux, ses cheveux, sa peau, tout, absolument tout chez elle, prenait une teinte indéfinissable, terne, quelque part entre le gris et le brun. Elle ressemblait presqu'à une ombre et passait facilement inaperçue.

Mais Pierre fut irresistiblement attiré par cette jeune fille. Pourquoi ? Le fait qu'elle vienne de Tartar n'était pas une raison suffisante. Non, il y avait plus. Léa possédait un incroyable talent...

(grrr... maudit ava trop gros ou trop petit! )

Elle comprennait l'Oréon. Comme les prêtresse dans les vieux contesde son enfance, elle lisait partout les signes cette énergie, dans la course de l'astre solaire, les feuilles des arbres où le comportement des animaux.
Mais Pierre ne déouvrit que tout cela bien plus tard. Quand il la rencontra, d'abord, il n'en savait rien.

Cela se passa en Hiver, alors qu'il passait par les ruelles pour rentrer plus vite chez lui. Il la reconnut pour l'avoir déjà croisé quelque fois. Et comme tout le monde, il avait bin sûr entendu des rumeurs sur la fille de Tartar...

Elle était en mauvaise position. Renaud et deux jeunes l'avaient acculé. Pierre connaissait vaguement Renaud, un peu plus âgé que lui. Il était brutal à l'occasion, mais pas méchant. Simplement, il haissaiit tout ce qui venait de Tartar. Quand les messagers était apparu, il avait été le premier à leur jeter des pierres et médire sur eux. Pierre savait que le père de Renaud était parti pour tartar alors qu'il était très jeune et, apparement, il avait décidé de se venger sur Léa.

Il resta un instant les bras ballants, sans trop savoir quoi faire, hésitant à s'en mèler. Heureusement, cette décision lui fut épargner. Car, à ce moment, l'ombre surgit.

(Tada! )