Citation^^

"La vérité énoncée avec de mauvaises intentions dépasse tous les mensonges de l'imagination."

"Car, même l'errance a des points d'ancrage."

"C'est mon métier, d'être détestée..."

"Nous vivons ensemble,
Comme feuilles qui tremblent,
Qui tremblent ensemble,
Au même vent.

Même arbre qui penche,
M¸ame souffle et même branche,
Nous vivons ensemble,
Au même océan."

"Sorrow has a human heart"

"La liberté c'est pas sans danger, c'est pour ça que ça court pas les rues et les toits."

"Dans la cendre, quelques braises encore chaudes suffisent parfois pour rallumer un feu..."

"On part à la guerre,
avec une épée de bois,
un cri solitaire,
un air maladroit,
Les yeux infidèles,
mouillés d'une soif amère,
on suivrait la perle,
au fond de la mer."

"Sa tristesse, son désespoir, sa terreur, et ces ténèbres noires qui engloutissent tout sur leur passage.
Le sang qui coulait de son front était semblable à des larmes.
A travers les paroles du démon, j'avais l'impression d'entendre Tsuzuki, récitant un monologue déchirant ..."

Rat.
Jamais, encore, il ne s'était rendu compte de la laideur de ce mot.
Rat.
Au milieu de toute cette beauté il avait des accents extrèmement déplaisants.
Rat.
Un juron, une insulte, un mot totalement dénué de lumière Et ce n'est que lorsqu'il l'entendit dans la bouche de la princesse que Roscuro comprit qu'il n'aimait pas être un rat, qu'il ne voulait pas être un rat.
[...]

la princesse le toisait, les yeux plein de dégout et de colère. "Regagne les oubliettes!" disait ce regard. "Rejoins les ténèbres auxquelles tu apartiens!"
Ce regard, lecteur, brisa le coeur de Roscuro.
Il est des coeurs qui ne guérissent jamais de s'être brisés. Ou alors, ils cicatrisent mal, comme s'ils avaient été rafistolés par un artiste maldroit.
Tel fut le destin de Chiaroscuro. Son coeur fut brisé. Ramasser la cuillère, s'en coiffer, jurer de se venger- tout cela l'aida à en recoller le morceaux. Mais hélas, son coeur fut réparer de travers.
-Si tu me veux, mamotta Roscuro en décampant, tu me trouveras dans les oubliettes. Dans les ténèbres.

"Ils n'étaient pas sortis de leurs villes, mais on leur avait dit que par chaque barrière de ces villes on allait à une capitale d'Europe. Ils avaient dans la tête tout un monde ; ils regardaient la terre, le ciel, les rues et les chemins ; tout cela était vide, et les cloches de leurs paroisses résonnaient seules dans le lointain."

[Hs : désolée de casser l'ambiance ]

"Tamaki ! Ô grand Tamaki !! Pourquoi êtes-vous donc si beau ?
-C'est pour mieux pouvoir attirer sur moi, ne serait-ce que l'espace d'une seconde, la prunelle de tes yeux.
-Tamaki ! Ô grand Tamaki !! Pourquoi votre voix est-elle si douce ?
-C'est pour que mes mots puissent mieux glisser sans heurts jusqu'au fond de ton coeur.
-Tamaki ! Ô grand Tamiki !! Pourquoi... vos yeux sont-ils emplis de larmes lorsque vous me regardez.
-C'est parce que la fraîcheur humide de ton beau sourire fait déborder la source de mon coeur.
-Ô Tamaki !!..."

"Pardonnez-moi, ô grands poètes, qui êtes maintenant un peu de cendre et qui reposez sous la terre ; pardonnez-moi ! vous êtes des demi-dieux, et je ne suis qu'un enfant qui souffre. Mais en écrivant tout ceci, je ne puis m'empêcher de vous maudire. Que ne chantiez-vous le parfum des fleurs, les voix de la nature, l'espérance et l'amour, la vigne et le soleil, l'azur et la beauté ? Sans doute vous connaissiez la vie, et sans doute vous aviez souffert ; et le monde croulait autour de vous, et vous pleuriez sur ses ruines, et vous désespériez ; et vos maîtresses vous avaient trahis, et vos amis calomniés, et vos compatriotes méconnus ; et aviez le vide dans le coeur, la mort devant les yeux, et vous êtiez des colosses de douleur. Mais dites-moi, vous, noble Goethe, n'y avait-il plus de voix consolatrice dans le murmure religieux de vos vieilles forêts d'Allemagne ?"

"Prenant une grande inspiration, la princesse posa une main sur son coeur.
Je crois, lecteur, qu,elle éprouvait les mêmes sentiments que Despereaux lorsqu'il s'était retrouvé devant son père implorant son pardon. C'est-à-dire que Pipa avait soudain conscience de la fragilité de son coeur, des ténèbres qu'il renfermait, et qui, sans cesse, combattaient la lumière.
Elle n'aimait pas le rat. Elle ne l'aimerait jamais, mais elle savait comment agir pour sauver son propre coeur."

"En sorte que les riches se disaient : Il n'y a de vrai qeu la richesse ; tout le reste est un rêve ; jouissons et mourons. Ceux d'une fortune médiocre se disaient : Il n'y a de vrai que l'oubli ; tout le reste est un rêve ; oublions et mourons. Et les pauvres disaient : Il n'y a de vrai que le malheur ; tout le reste est un rêve ; blasphémons et mourons."

(c'est quoi, Kan?)

"Reste encore un peu dans mes bras.
Quelqu'un vient qui t'éveillera,
En parlant d'ailleur et d'amour,
Il est tout alentour,
Dans ton coeur, c'est son pas qui bat,
Reste encore un peu dans mes bras

Berce-moi dans ton rêve encore,
Tes chemins sont tous prêts, dehors,
Tes jouets garderont nos jeux,
Et moi, je jouerai avec eux,
Une étoile s'allume au nord.
Berce-moi dans ton rêve encore

Le nuage est au gré du vent,
Et la feuille au gré du courant,
Ton coeur parle du temps qui fuit,
Sur les eaux de la nuit,
Comme au gré de l'amour, l'Enfant,
Le nuage est au gré du vent..."

(La confession d'un enfant du siècle, de Musset (qui, accessoirement, est plein de café maintenant XD))

"Il ont vu que le pauvre se laissait opprimer par le riche, le faible par le fort, par cette raison qu'il se disaient : Le riche et le fort m'opprimeront sur la terre ; mais quand ils voudront entrer au paradis, je serai à la porte et je les accuserai au tribunal de Dieu. Ainsi, hélas ! ils prenaient patience.
Les antagonistes du Christ ont donc dit au pauvre : Tu prends patience jusqu'au jour de justice, il n'y a point de justice ; tu attends la vie éternelle pour y réclamer ta vengeance, il n'y a point de vie éternelle ; tu amasses dans un flacon tes larmes et celles de ta famille, les cris de tes enfants et les sanglots de ta femme, pour les porter au pied de Dieu à l'heure de ta mort ; il n'y a point de Dieu."

"Tu es un garçon, et tu pleurniches sans pouvoir te contrôler... et pourtant tu fais comme si de rien n'était. Tu es vraiment un garçon étrange... Tu ne veux de moi ni argent, ni sexe... Mais alors que me veux-tu ? Je me conduis de la pire façon qui soit... Et tu ne veux rien d'autre que d'être à côté de moi. Non pas pour que je t'écrive tes chansons... C'est donc ça que l'on appelle... l'amour ?"

LE YAOI VAINCRAAAAAAAA !! MOUHAHAHAHA

(qu'est-ce que le Yaoi?^^")

"Time passes, we say: like a football, a parade, a ship in the night. Time flies: like a bird, a plane, like Superman. Time flows: like a river, like sand, like blood. Time, we have been told, is a reef, a hand, a wheel, a gift. Time is avenger, devourer, destroyer, a disordered string. Time is the great physician, the wingèd chariot, the subtle thief of youth. Time, we hope, heals all wounds.
We talk about spending time ( like money), serving time (like dinner) making time (like lunch). We talk about bying time (like a car, a refirgirator, a new pair of shoes), borrowing time (like a library book, a cup of suga, an egg), stealing time (like hubcaps, third base, a kiss). At one time or another, we all had time on our hands, time to squander, time to kill. More often, we say we are pressed for time: like a shirt, like grapes for wine, like a flower in a book, like a hand against a heart. Time, we say, have run out on us, like milk, luck, or an unfaithful spouse.
So much time, we complain, is lost, like mittens, sheep, or souls.
Time, I once read on a bathroom wall, is just God's way of keeping everything from happening at once.
We teach our children to tell time: like fortune, a lie, or a story.
Past, present, future. Yesterday, today, tomorrow. Beggining, middle, end. Sooner or later. Then and now.
"... time is the longest distance between two places." "

Le Yaoi c'est les relations entre deux hommes, après c'est le terme japonais mais je sais pas si y a un mot en français alors j'utilise celui-là

"La dimension du panorama dépasse mon champ de vision.
Ce mimétisme parfait ne peut que trembler.
Cette sensation sans valeur est une réaction qui cherche les secrets.
Même froids et obscènes, tu veux les voir...

Jouant avec les couleurs de l'arc-en-ciel,
Une mer de plaisir torrentiel.
Les ombres sont un jeu qui trace les limites,
Et frappe ce monde.

KISS SHINING, imitant la solitude,
Le regret en moi déchire l'espace.
MAKE ME SHINING, les frangments de mon coeur éparpillés,
Pour un espoir furtif et éclatant.

KISS SHINING, embrassant mes yeux,
Les pétales qui se dissolvent deviennent aussi une entrave.
KILL ME SHINING, à la fin de cette stimulation aux couleurs changeantes,
Une illusion commence à briller.

PLEASE DON'T CRYIN', imitant la solitude,
Le regret en moi déchire l'espace.
MAKE ME SHINIG, les fragments de mon coeur éparpillés,
Pour un espoir furtif et éclatant.

KISS SHINING, imitant la solitude,
Le regret en moi déchire l'espace.
MAKE ME SHINING, les frangments de mon coeur éparpillés,
Pour un espoir furtif et éclatant."

YAOI YAOI YAOI, je ne vous lâcherais plus ! hahaha (vouiiiiiiiii c'est Yuki qui a écrit ça pour Suichi ! ^^ Siiiiiiiii il est kawaiiiiiiiiiiiii )

(Dans le sens d'homosexualité, ou...?)

"Ultimatly, I have found it is meaningless to hold the yardstick of fact against the complexities of the human heart. Reality simply isn't large enough to hold us."

[Dans le sens homosexualité... c'était vraiment bizarre ce que j'ai dit ]

"Nourris ta gentillesse de ce qui te rend triste,
et ta force de ce qui te rend unique.
Bien que tu te sentes perdu, cela s'arrangera. repars de l'avant,
une fois encore.

Aimes-tu répondre aux attentes de quelqu'un
et en être félicité ?
Même si tu sacrifie ce que tu veux devenir
garderas-tu quand même un sourire radieux ?

Je me réveille après avoir vu seulement le début de mon rêve
mais je saisirai ce qui arrivera avec mes bras.
En effet, les choses importantes sont toujours
celles qui n'ont pas de forme.
Que tu les saisisses ou que tu les manques, tu ne t'en apercevras pas.

Nourris ta gentillesse de ce qui te rend triste,
et ta force de ce qui te rend unique.
Bien que tu te sentes perdu, cela s'arrangera. repars de l'avant,
une fois encore."

[On finit par s'habituer, avec le temps, on ne s'étonne presque plus^^]

"Parce que l'amour est lâche et le contredire est un courage que j'ai rarement eut..."

"Prenez de l'amour ce qu'un homme sobre prend de vin ; ne devenez pas un ivrogne. Si votre maîtresse est sincère et fidèle, aimez-la pour cela ; mais si elle ne l'est pas, et qu'elle soit jeune et belle, aimez-la parce qu'elle est jeune et belle ; et si elle est agréable et spirituelle, aimez-la encore ; et si elle n'est rien de tout cela, mais qu'elle vous aime seulement, aimez-la encore. On n'est pas aimé tous les soirs."

"On a bouffé les perruches ce midi et ça goutait un peu le blanc de poulet. On s'est demandé si c'était puni, ce genre de chose. Si on allait cessé d'être égoïstes un jour. On s'est demandé pourquoi on s'en foutait, combien de temps on pourrait tenir sans gagner un sous et jusqu'où on se rendrait en marchant sur les genoux."

"La civilisation fait le contraire de la nature. Dans nos villes et selon nos moeurs, la vierge faite pour courir au soleil, pour admirer les lutteurs nus de Lacédémone, pour choisir, pour aimer, on l'enferme, on la vérouille ; cependant elle cache un roman sous son crucifix. Pâle et oisive, elle se corrompt devant son miroir, elle flétrit dans le silence des nuits cette beauté verte et luxuriante qui l'étouffe et qui a besoin du grand air. Puis tout d'un coup, on la tire de la, ne sachant rien, n'aimant rien, désirant tout ; une vieille l'endoctrine, on lui chuchote un mot obscène à l'oreille, et on la jette dans le lit d'un inconnu qui la viole. Voilà le mariage, c'est-à-dire la famille civilisée."