Citation^^

"Vous êtes l'incarnation de votre désir le plus profond.
Votre désir détermine votre volonté.
Votre volonté détermine votre pouvoir d'agir.
Votre pouvoir d'agir détermine votre destinée."

"Je me précipitai vers ma fenêtre ouverte.
"Est-ce donc vrai que tu es vide ? criai-je en regardant un grand ciel pâle qui se déployait sur ma tête. Répond, répond ! Avant que je meure, me mettras-tu autre chose qu'un rêve entre ces deux bras que voici ?"

"Une larme sur ma joue
Trace du désespoir le plus fou
Pleurer, pleurer
Jusqu’à s’en dessécher

Etre vide
Pour se protéger des êtres perfides
Etre seule
A porter son linceul

Se sentir morte lorsqu’on est en vie
Ironie d’un sort fatal
Condamnés à cette existence d’être maudit

S’efface soi-même
Abandonner au combat final
Et attendre la punition suprême."

Un poème de Para ^^

"Je ne sais pas si nous sommes fous, ou si nous sommes simplement à la recherche d'une beauté qui n'existe que dans la mouvance de sa quête, irrésistiblement tendu vers sa propre impossibilité d'être..."

"Les yeux des Sphynx étincellent au milieu des divins hiéroglyphes ; déchiffre le livre de vie ! Courage, écolier, lance-toi dans le Styx, le fleuve invulnérable, et que ses flots en deuil te mènent à la mort ou à Dieu."

"Moi, j'suis contre le racisme! Tsé, c'est même pas des noirs, dans mafia, c'est des italiens!"

>< entendu aujourd'hui, à une conférence sur l'immigration...

"Par pitié ne me distrait pas. Suis mon idée, elle est solide. Un
forgeron tue sa moitié. Il était saoul. Qui est coupable ? Celui qui a
tenu le tisonnier fatal ? Ou peut-être le vin ? Ou le chagrin qui l'a poussé à téter la fiole au goulot ? Le mal qu'il a subi pour qu'il ait ce chagrin ? Ses parents qui l'ont mis au monde, et qui l'ont pondu là bancal, autant de coeur que de jugeote ? Ses aïeux qui ont fait ses père et mère inaptes à tricoter un forgeron incapable d'assassinat ? Qui est donc le premier fautif ?"

"Il voulait, quelque part, expier ses crimes. Quand il souhaitait ne plus souffrir, une sombre part au fond de lui-même lui rappelait qu’il ne pouvait pas, qu’il avait ce devoir de mémoire, si douloureux soit-il, envers ses victimes, quoi qu’il lui en coûte. Ou justement, parce que ça lui coûtait."

"Quand Dieu a dit qu'il punirait sept fois plus celui qui s'attaquerait à "Caïn" alors expulsé du paradis... Peut-on dire qu'il a vraiment abandonné "Caïn" ? Une terre confortable et paisible lui a été donnée alors qu'il devait errer pour l'éternité... Sais-tu pourquoi ? Il a laissé Caïn quitter le paradis devenu fou pour le monde extérieur... S'il a haï Caïna, c'est parce qu'il pensait à lui justement, tout autant qu'à Abel qui est mort. C'est un beau nom Cain ! Parce que malgré tout, c'était un enfant de Dieu..."

"Lire est une méthode intelligente pour économiser sa propre pensée."

"Les gros livres ne sont gros que parce que l'auteur n'a pas eut le temps de faire court."
(tout à fait vrai^^Y'a qu'à penser aux productions de français. Je m'enligne encore plus vers un roman qu'un texte de 350 mots, avec la dernière qu'il nous a donné-.-)

"Tu es trop fière... Je ne te laisserai pas faire comme tu veux... Ne crois pas que tu pourras te séparer de moi !"

"Rien ne peut te quitter, dit l'ange, tu n'as rien. Tu es l'impuissance faite homme."

"Si tu n'es pas venu me parler, c'est sans doute parce qu'on se reverra... Je garde cet espoir, Tsuzuki... Je ne sais pas où vous êtes, mes amis... Dorénavant, je vous dédirai tous les morceaux que je jouerai, et je prierai pour que le son de mon violon parvienne jusqu'à toi..."

"La lâcheté, par contre, est jugée pâle et molle. Elle l'est, certes, comme un fromage, et plus trouée qu'un égouttoir, c'est pourquoi nul ne veut s'en couronner le front. Car tout, chez le couard, se débande en déroute : le coeur, le sang, les entrailles et les jambes, tout sauf l'espoir de vivre encore quand le héros n'aura qu'un trou, celui par où l'âme s'en va. Pourtant est-ce à bon droit que l'homme qui s'enfuit, la pointe d'un couteau à deux doigts des épaules, est l'objet du mépris et du dégoût hautain des foules téméraires ?"

'Le chaos naît et le monde meurt. Les ailes de la mort flottent sur la ville diabolique. C'est un sacrifice en mon honneur..."

(et selon la théorie de l'évolution, les singes actuels ne sont pas nos "parents" mais nos "cousins", zat's ze explication ^^)

"Tous savaient de source intime que la seule prière juste est celle qui fait rire Dieu."

"Cette chanson est mon trésor. En attendant que je revienne avec la clé, je l'enfermerai dans une boîte. Oui... il... se pourrait... Que j'ai enfin trouvé là où je peux briller."

(oui, comme dit Luce Apolline, l'homme n'est pas descendu du singe. Ils ont simplement un ancètre commun, ils sont descendus tous les deux du même être, mais l'évolution les a séparé)

"If I say to people: "This really happens", not unreasonably, they will be enclin to doubt me. They might suspect me of boasting, or assume I have lost my mind.
If I say: "I imagined it up, I made it up, It's fiction."- only then are they free to believe it."

"Lorsque tu seras à bout de force et sur le point de tomber, je deviendrai ta canne. Lorsque tu te battras pour protéger les gens que tu aimes, alors je deviendrai ton bouclier."

"Il y a quelque chose de mal digéré à propos de Quasimodo:les lecteurs ne peuvent s'empêcher de l'aimer, le pauvre- il est si horrible, on a pitié de lui, c'est la victime née.
Quand il s'éprend d'Esmeralda, on a envie de crier à la belle: "Aime-le! Il est désarmant! Ne t'arrêtes pas à son aspect extérieur!"
Tout cela est bien joli, mais pourquoi attend-on plus de justice de la part d'Esmeralda que de Quasimodo? Qu'à-t-il fait d'autre, lui que de s'arrêter à l'aspect extérieur de la créature? Il est sensé nous montrer la supériorité de la beauté intérieur par rapport à la beauté visible. En ce cas, il devrait tomber amoureux d'une vieille édenté: c'est alors qu'il serait crédible.
Or, l'élue de son coeur est une superbe boohémienne, dont il n'est que trop facile de s'éprendre. Et l'on voudrait nous faire croire que ce bossu a l'âme pure?"

"A quoi ça sert, ces sentiments qui font pas avancer ? Ca te mène en bateau, ça crépite et ça palpite, et puis ? Dis-moi ce que t’y trouves de si beau, apprends-moi à aimer l’antithèse de la haine, et je te suivrai dans tes délires perlés de cette drôle de brume, celle qui te fait tourner la tête autrement que par le sang et la fureur. Je crois que j’apprécierai ça aussi.

Montre-moi comment on fait pour aimer, et je t’expliquerai la vie d’une autre façon. Tu sais, moi aussi, j’ai su ce que c'était, la tristesse, la joie, la peur. Moi aussi, j’ai dû apprendre à occulter mes sentiments pour ne plus vivre que dans la noirceur du ressentiment. Il le fallait. J’ai juste oublié comment faire, je crois. Ouvre-moi la trappe de ton paradis, et je te suivrai sourire aux lèvres. J’aimerais que tu me l’apprennes.

Laisse-moi savourer ton rire, c'est la dernière trace de ton innocence qui ne sonne pas faux à mes oreilles. Je veux juste encore pouvoir te regarder quand tu rêves. Quand tu t’envoles là où le monde est si beau."

"Je ne peux nier avoir eu une certainne attirance. Quand nous étions plus jeunes, un amour de collégiens. Murmures du coeur, bonheur de l'attente anonyme, tout cela parait très lointain.
Émotions sentimentales maintenant oubliées: si les joueurs d'échec apprécie leur reine, ce n'est pas pour autant qu'ils lui envoient des lettres d'amour..."

"Si je vous le disais, pourtant, que je vous aimes
Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez ?
L'amour, vous le savez, cause une peine extrême :
C'est un mal sans pitié que vous plaignez vous-même ;
Peut-être cependant que vous m'en puniriez.

Si je vous le disais, qu'une douce folie
A fait de moi votre ombre, et m'attache à vos pas :
Un petit air de doute et de mélancolie,
Vous le savez, Ninon, vous rend bien plus jolie ;
Peut-être diriez-vous que vous n'y croyez pas."

(Zach-> c'est joli^^)

"Et qui, soûle de son sang,
Préfère, en somme,
La douleur à la mort,
Et l'enfer au néant..."