| | La phrase sans fin (jeu) | |
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Gabriel Kiriyama °Vagabon° ¦Ombre¦
Nombre de messages : 650 Age : 46 Votre Dieu/Déesse : Anandel Date d'inscription : 09/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 5:34 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou | |
| | | Kenshin Makoto °Serviteur° ¦Foudre¦
Nombre de messages : 106 Age : 43 Votre Dieu/Déesse : Eclaire Date d'inscription : 02/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 5:34 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme | |
| | | Gabriel Kiriyama °Vagabon° ¦Ombre¦
Nombre de messages : 650 Age : 46 Votre Dieu/Déesse : Anandel Date d'inscription : 09/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 5:35 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un | |
| | | Kenshin Makoto °Serviteur° ¦Foudre¦
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| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 5:36 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro | |
| | | Gabriel Kiriyama °Vagabon° ¦Ombre¦
Nombre de messages : 650 Age : 46 Votre Dieu/Déesse : Anandel Date d'inscription : 09/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 5:43 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé | |
| | | Gally °Déesse du feu°
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| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 7:02 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et | |
| | | Kenshin Makoto °Serviteur° ¦Foudre¦
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| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 8:25 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très | |
| | | Kotori Hana °Habitant(e)° ¦ Terre ¦
Nombre de messages : 317 Age : 33 Votre Dieu/Déesse : Kanaël ^^ Date d'inscription : 09/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 9:19 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau | |
| | | Gabriel Kiriyama °Vagabon° ¦Ombre¦
Nombre de messages : 650 Age : 46 Votre Dieu/Déesse : Anandel Date d'inscription : 09/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 12:09 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais | |
| | | Kenshin Makoto °Serviteur° ¦Foudre¦
Nombre de messages : 106 Age : 43 Votre Dieu/Déesse : Eclaire Date d'inscription : 02/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 12:29 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique | |
| | | Cathleen White °Meilleur(e) ami(e) du dieu de l'Ombre°
Nombre de messages : 110 Votre Dieu/Déesse : Maro (dieu de l'Ombre) Date d'inscription : 02/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 14:25 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et | |
| | | Anna °Déesse de l'eau° ¦Admin¦
Nombre de messages : 601 Age : 31 Votre Dieu/Déesse : Moi Date d'inscription : 12/11/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 17:20 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert | |
| | | Lizabell Invité
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 28 Mar 2006 - 17:30 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde |
| | | Kenshin Makoto °Serviteur° ¦Foudre¦
Nombre de messages : 106 Age : 43 Votre Dieu/Déesse : Eclaire Date d'inscription : 02/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mer 29 Mar 2006 - 2:17 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe | |
| | | Gabriel Kiriyama °Vagabon° ¦Ombre¦
Nombre de messages : 650 Age : 46 Votre Dieu/Déesse : Anandel Date d'inscription : 09/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mer 29 Mar 2006 - 3:12 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche | |
| | | Kenshin Makoto °Serviteur° ¦Foudre¦
Nombre de messages : 106 Age : 43 Votre Dieu/Déesse : Eclaire Date d'inscription : 02/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mer 29 Mar 2006 - 3:37 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai | |
| | | Kotori Hana °Habitant(e)° ¦ Terre ¦
Nombre de messages : 317 Age : 33 Votre Dieu/Déesse : Kanaël ^^ Date d'inscription : 09/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mer 29 Mar 2006 - 4:55 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai d'abord | |
| | | Gabriel Kiriyama °Vagabon° ¦Ombre¦
Nombre de messages : 650 Age : 46 Votre Dieu/Déesse : Anandel Date d'inscription : 09/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mer 29 Mar 2006 - 5:46 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai d'abord, si | |
| | | ced °Le fou de joie° ¦glace¦
Nombre de messages : 34 Age : 32 Votre Dieu/Déesse : Glace Aryan Date d'inscription : 04/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mer 29 Mar 2006 - 16:13 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai d'abord, si orange | |
| | | Rich Invité
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mer 29 Mar 2006 - 16:14 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai d'abord, si orange que |
| | | Kenshin Makoto °Serviteur° ¦Foudre¦
Nombre de messages : 106 Age : 43 Votre Dieu/Déesse : Eclaire Date d'inscription : 02/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Jeu 30 Mar 2006 - 1:21 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai d'abord, si orange que Bontenmaru | |
| | | Gabriel Kiriyama °Vagabon° ¦Ombre¦
Nombre de messages : 650 Age : 46 Votre Dieu/Déesse : Anandel Date d'inscription : 09/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Jeu 30 Mar 2006 - 3:15 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai d'abord, si orange que Bontenmaru s'asseoit | |
| | | Luce Apolline °Déesse de la lumière°
Nombre de messages : 679 Age : 40 Votre Dieu/Déesse : Moi-même Date d'inscription : 14/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Jeu 30 Mar 2006 - 5:33 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai d'abord, si orange que Bontenmaru s'asseoit lourdement | |
| | | Gabriel Kiriyama °Vagabon° ¦Ombre¦
Nombre de messages : 650 Age : 46 Votre Dieu/Déesse : Anandel Date d'inscription : 09/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Jeu 30 Mar 2006 - 7:11 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai d'abord, si orange que Bontenmaru s'asseoit lourdement, bruyamment | |
| | | Hoshi Hitokage °Vagabon° ¦Glace¦
Nombre de messages : 1270 Age : 33 Votre Dieu/Déesse : Personne Date d'inscription : 20/12/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Jeu 30 Mar 2006 - 9:17 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai d'abord, si orange que Bontenmaru s'asseoit lourdement, bruyamment, brutalement | |
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