| | La phrase sans fin (jeu) | |
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Auteur | Message |
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Gabriel Kiriyama °Vagabon° ¦Ombre¦
Nombre de messages : 650 Age : 46 Votre Dieu/Déesse : Anandel Date d'inscription : 09/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 23 Avr 2006 - 3:49 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai d'abord, si orange que Bontenmaru s'asseoit lourdement, bruyamment, brutalement, provoquant, alors il sorti son balai volant à pois violet pour manger des poiraux frais du soir ce dromadaire qui ruminait de longs brins marinés d'herbe bleue, aussi tu dormais en boule compact sur un cercueil moisie contenant une main molle, mortifiante et morbide qui sentait atrocement le tofu et le | |
| | | Lizabell Invité
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 23 Avr 2006 - 15:11 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai d'abord, si orange que Bontenmaru s'asseoit lourdement, bruyamment, brutalement, provoquant, alors il sorti son balai volant à pois violet pour manger des poiraux frais du soir ce dromadaire qui ruminait de longs brins marinés d'herbe bleue, aussi tu dormais en boule compact sur un cercueil moisie contenant une main molle, mortifiante et morbide qui sentait atrocement le tofu et le gruyère |
| | | Kanaël Sanada °Dieu de la terre°
Nombre de messages : 1459 Age : 48 Votre Dieu/Déesse : Moi ^__^ Date d'inscription : 20/12/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Ven 5 Mai 2006 - 13:04 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux cheveux châtains et bleux doré comme des poissons rouges tournant dans un pré vert, rond et rempli d'huile de canola et d'oursins violets piquants, dodus et bien grillés au soleil de mon été enneigé au Canada en Octobre le vendredi matin quand mon oncle sonne la messe du mercredi comme un fou en décomposition 10 mètres plus au moin en haut du volcan crachant abondament sa lave sur un pont plein de mitaines bleu ciel verdi par la chaleur folle du pain perdu lors des fêtes saintes de fin d'année chez toi la dernière coupable meurtrière de mon cheveu fou comme un Kyôshiro ébourrifé et très beau mais magnifique et vert moutarde superbe, moche, pas vrai d'abord, si orange que Bontenmaru s'asseoit lourdement, bruyamment, brutalement, provoquant, alors il sorti son balai volant à pois violet pour manger des poiraux frais du soir ce dromadaire qui ruminait de longs brins marinés d'herbe bleue, aussi tu dormais en boule compact sur un cercueil moisie contenant une main molle, mortifiante et morbide qui sentait atrocement le tofu et le gruyère moisi | |
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