| | La phrase sans fin (jeu) | |
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+25Kotori Hana Cheryl Shana Médden ced Alias Elfie Zachary Kigai Kenshin Makoto Gally Irisae Ellora Éclaire Danaïde Jay Luce Apolline Ezechiel Kizu Anna Hoshi Hitokage Mary-Anne Kanaël Sanada Yukimura Maude Shizuako Alex et Adam Cathleen White 29 participants | |
Auteur | Message |
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Lizabell Invité
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 17:02 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue |
| | | Jay °Espion° ¦Foudre¦
Nombre de messages : 127 Votre Dieu/Déesse : Éclair Date d'inscription : 06/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 17:07 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui | |
| | | Lizabell Invité
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 17:31 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait |
| | | Anna °Déesse de l'eau° ¦Admin¦
Nombre de messages : 601 Age : 31 Votre Dieu/Déesse : Moi Date d'inscription : 12/11/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 17:42 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du | |
| | | Lizabell Invité
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 17:45 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du boudin |
| | | ced °Le fou de joie° ¦glace¦
Nombre de messages : 34 Age : 32 Votre Dieu/Déesse : Glace Aryan Date d'inscription : 04/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 17:47 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie | |
| | | Jay °Espion° ¦Foudre¦
Nombre de messages : 127 Votre Dieu/Déesse : Éclair Date d'inscription : 06/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 4:42 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé | |
| | | Kanaël Sanada °Dieu de la terre°
Nombre de messages : 1459 Age : 48 Votre Dieu/Déesse : Moi ^__^ Date d'inscription : 20/12/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 5:21 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé | |
| | | Irisae Ellora °Demi soeur de lizabelle°
Nombre de messages : 999 Age : 31 Votre Dieu/Déesse : AUCUN! Date d'inscription : 18/02/2006
| Sujet: phrase sans fin Mar 21 Mar 2006 - 5:42 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et | |
| | | Alias °Défenseur du bien° ¦Lumière¦
Nombre de messages : 45 Votre Dieu/Déesse : Luce Apolline Date d'inscription : 17/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 5:57 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait | |
| | | Ezechiel Kizu ° Maître du ciel °
Nombre de messages : 269 Votre Dieu/Déesse : aucun Date d'inscription : 19/02/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 10:53 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui | |
| | | Kanaël Sanada °Dieu de la terre°
Nombre de messages : 1459 Age : 48 Votre Dieu/Déesse : Moi ^__^ Date d'inscription : 20/12/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 12:43 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait | |
| | | Luce Apolline °Déesse de la lumière°
Nombre de messages : 679 Age : 40 Votre Dieu/Déesse : Moi-même Date d'inscription : 14/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 12:59 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement | |
| | | Kanaël Sanada °Dieu de la terre°
Nombre de messages : 1459 Age : 48 Votre Dieu/Déesse : Moi ^__^ Date d'inscription : 20/12/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 13:02 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement tel | |
| | | Luce Apolline °Déesse de la lumière°
Nombre de messages : 679 Age : 40 Votre Dieu/Déesse : Moi-même Date d'inscription : 14/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 13:12 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement tel la | |
| | | Cathleen White °Meilleur(e) ami(e) du dieu de l'Ombre°
Nombre de messages : 110 Votre Dieu/Déesse : Maro (dieu de l'Ombre) Date d'inscription : 02/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 14:51 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement tel la baleine | |
| | | Lizabell Invité
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 17:35 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement tel la baleine bleu |
| | | Médden °Sorcier° ¦Glace¦
Nombre de messages : 217 Votre Dieu/Déesse : Lizabelle Date d'inscription : 03/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 18:58 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement tel la baleine bleu qui | |
| | | Jay °Espion° ¦Foudre¦
Nombre de messages : 127 Votre Dieu/Déesse : Éclair Date d'inscription : 06/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 19:44 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement tel la baleine bleu qui en | |
| | | Kanaël Sanada °Dieu de la terre°
Nombre de messages : 1459 Age : 48 Votre Dieu/Déesse : Moi ^__^ Date d'inscription : 20/12/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mar 21 Mar 2006 - 23:27 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant | |
| | | Jay °Espion° ¦Foudre¦
Nombre de messages : 127 Votre Dieu/Déesse : Éclair Date d'inscription : 06/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mer 22 Mar 2006 - 4:35 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a | |
| | | Ezechiel Kizu ° Maître du ciel °
Nombre de messages : 269 Votre Dieu/Déesse : aucun Date d'inscription : 19/02/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mer 22 Mar 2006 - 8:04 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort | |
| | | Kanaël Sanada °Dieu de la terre°
Nombre de messages : 1459 Age : 48 Votre Dieu/Déesse : Moi ^__^ Date d'inscription : 20/12/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mer 22 Mar 2006 - 8:44 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait | |
| | | Jay °Espion° ¦Foudre¦
Nombre de messages : 127 Votre Dieu/Déesse : Éclair Date d'inscription : 06/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mer 22 Mar 2006 - 9:35 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses | |
| | | Luce Apolline °Déesse de la lumière°
Nombre de messages : 679 Age : 40 Votre Dieu/Déesse : Moi-même Date d'inscription : 14/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Mer 22 Mar 2006 - 11:32 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande tortue qui mangeait du foie passé composé et imparfait qui hennissait furieusement telle la baleine bleu qui en hurlant a mort, salissait ses beaux | |
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