| | La phrase sans fin (jeu) | |
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Elfie °Conseillère/Meilleure amie de la déesse de la lumière°
Nombre de messages : 192 Votre Dieu/Déesse : Luce Apolline Date d'inscription : 17/03/2006
| Sujet: phrase sans fin Dim 19 Mar 2006 - 7:37 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi | |
| | | Kanaël Sanada °Dieu de la terre°
Nombre de messages : 1459 Age : 48 Votre Dieu/Déesse : Moi ^__^ Date d'inscription : 20/12/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 7:47 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui | |
| | | Luce Apolline °Déesse de la lumière°
Nombre de messages : 679 Age : 40 Votre Dieu/Déesse : Moi-même Date d'inscription : 14/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 10:37 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit | |
| | | Lizabell Invité
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 11:02 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur |
| | | Luce Apolline °Déesse de la lumière°
Nombre de messages : 679 Age : 40 Votre Dieu/Déesse : Moi-même Date d'inscription : 14/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 11:15 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un | |
| | | Lizabell Invité
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 11:30 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame |
| | | Kanaël Sanada °Dieu de la terre°
Nombre de messages : 1459 Age : 48 Votre Dieu/Déesse : Moi ^__^ Date d'inscription : 20/12/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 12:49 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant | |
| | | Luce Apolline °Déesse de la lumière°
Nombre de messages : 679 Age : 40 Votre Dieu/Déesse : Moi-même Date d'inscription : 14/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 13:04 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament | |
| | | Lizabell Invité
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 13:19 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur |
| | | Luce Apolline °Déesse de la lumière°
Nombre de messages : 679 Age : 40 Votre Dieu/Déesse : Moi-même Date d'inscription : 14/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 13:23 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une | |
| | | Danaïde °Fille de Gally et Alex° ¦Feu¦
Nombre de messages : 65 Age : 32 Votre Dieu/Déesse : Anarchie! Date d'inscription : 14/02/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 13:39 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette | |
| | | Cathleen White °Meilleur(e) ami(e) du dieu de l'Ombre°
Nombre de messages : 110 Votre Dieu/Déesse : Maro (dieu de l'Ombre) Date d'inscription : 02/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 13:51 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée | |
| | | Luce Apolline °Déesse de la lumière°
Nombre de messages : 679 Age : 40 Votre Dieu/Déesse : Moi-même Date d'inscription : 14/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 13:52 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement | |
| | | Cathleen White °Meilleur(e) ami(e) du dieu de l'Ombre°
Nombre de messages : 110 Votre Dieu/Déesse : Maro (dieu de l'Ombre) Date d'inscription : 02/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 16:19 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et | |
| | | Kanaël Sanada °Dieu de la terre°
Nombre de messages : 1459 Age : 48 Votre Dieu/Déesse : Moi ^__^ Date d'inscription : 20/12/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Dim 19 Mar 2006 - 23:27 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en | |
| | | Elfie °Conseillère/Meilleure amie de la déesse de la lumière°
Nombre de messages : 192 Votre Dieu/Déesse : Luce Apolline Date d'inscription : 17/03/2006
| Sujet: phrase sans fin Lun 20 Mar 2006 - 4:46 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant | |
| | | Alias °Défenseur du bien° ¦Lumière¦
Nombre de messages : 45 Votre Dieu/Déesse : Luce Apolline Date d'inscription : 17/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 6:09 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment | |
| | | Ezechiel Kizu ° Maître du ciel °
Nombre de messages : 269 Votre Dieu/Déesse : aucun Date d'inscription : 19/02/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 9:42 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel | |
| | | Kanaël Sanada °Dieu de la terre°
Nombre de messages : 1459 Age : 48 Votre Dieu/Déesse : Moi ^__^ Date d'inscription : 20/12/2005
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 10:04 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une | |
| | | Luce Apolline °Déesse de la lumière°
Nombre de messages : 679 Age : 40 Votre Dieu/Déesse : Moi-même Date d'inscription : 14/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 13:43 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone | |
| | | Cathleen White °Meilleur(e) ami(e) du dieu de l'Ombre°
Nombre de messages : 110 Votre Dieu/Déesse : Maro (dieu de l'Ombre) Date d'inscription : 02/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 14:29 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia | |
| | | Luce Apolline °Déesse de la lumière°
Nombre de messages : 679 Age : 40 Votre Dieu/Déesse : Moi-même Date d'inscription : 14/01/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 14:30 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée | |
| | | Jay °Espion° ¦Foudre¦
Nombre de messages : 127 Votre Dieu/Déesse : Éclair Date d'inscription : 06/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 15:27 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans | |
| | | Lizabell Invité
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 16:38 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la |
| | | Jay °Espion° ¦Foudre¦
Nombre de messages : 127 Votre Dieu/Déesse : Éclair Date d'inscription : 06/03/2006
| Sujet: Re: La phrase sans fin (jeu) Lun 20 Mar 2006 - 16:51 | |
| La première fois que j'ai vue cette chose affreuse, tu m'as frappé pour que je te dise ce que je suis ton ami, et aussi tu ne pensais pas que j'étais attiré par un vieil homme qui puait comme l'enfer les dernières années longues et miteuses comme une ancienne chanson dont les mots sont tristes et sanguinaires, mais tout de suite après j'ai compris que mon cœur était enflammé pour toujours comme un fou furieux s'échappant d'un éthylomètre défectueux qui sentait les pieds puants du vestiaire des footballeurs de la ligue répugnate et de la Californie,donc ce pays est puant, d'ailleurs il sent les corybantes(stun mot ca...), ce pays de géants bien dodus tous vert et poilus comme des diablotins qui bondissent hors de l'eau bouillonante et multicolore, s'amusant dans les grottes illuminées et enchantées de la forêt au troll farceur qui trainait un elfe pour l'avaler avec une pomme et deux patates écrasées sur une cafetière en feu et pleine à rabord d'huile de verre d'eau gluant et mou des zozotements incompréhensibles de petites créatures folles sorties de mon gibus étrangement brisé de ma main morte et de mes pieds puants sortis tout droit de l'emmerdement scolaire profond de mes oméga-3 surtout que les protéines complexes m'empêche d'avoir le vertige fou plein d'incohérences incomensurablement petites, basses et perpendiculaires, parallèlement à toi qui bondit sur un hippopotame dormant nonchalament sur une salopette déchirée verticalement et en ronflant bruyamment tel une anémone fushia hérissée dans la grande | |
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