Repos avec Mary Anne [Privé Irisea et Danaïde]

Luce poussa la porte de l'auberge du grand marronnier en serrant toujours les petits doigts de Mary Anne dans sa main. Elle avait marché doucement, au rythme des petits pas de l'enfant, mais elles était arrivée à bon port en moins de vingt minutes. En entrant, elle remarqua tout de suite le patron qu'elle connaissait bien, mais rien n'était moins sûr que lui a reconnaisse par contre... C'était assez inhabituel que quelqu'un vieillisse de cinq ans en aussi peu de temps. Pourtant, il s'approcha, l'ai abasourdi.

« Luce ? Mais... »

Elle ne le laissa pas finir et le foudroya du regard, en tout cas d'un regard signifiant « je te raconterai tout ça plus tard » en désignant la petite fille qui l'accompagnait d'un discret signe de la tête. L'aubergiste se tût un instant avant de continuer.

« Heu oui alors... que désirent ces demoiselles ? »

Luce était un peu gênée de le mettre mal à l'aise ainsi. C'était un brave homme, mais elle n'avait aucune envie de se livrer à une longue et complexe explication au sujet de sa nouvelle apparence, et surtout pas devant Mary Anne. Elle prit donc la parole d'un ton tout à fait naturel, comme s'il n'y avait absolument rien d'exceptionnel à la situation.

« Nous voudrions un bon repas, surtout pour la jeune demoiselle qui m'accompagne. »

En disant cela elle fit un large sourire à la petite fille avant de l'entraîner vers la table que l'aubergiste leur désignait. Elle la laissa s'asseoir avant de prendre une chaise à son tour. Puis elle lui tendit un menu.

« Je ne sais pas ce que tu aimes, ni si tu sais lire. Mais tu peux peut-être me montrer ce qui te ferai envie... »

La jeune femme eut un sourire encourageant. La situation n'était pas évidente pour elle qui n'était pas télépathe. Anna pourrait peut-être l'aider, elle avait le pouvoir de lire dans les pensées. Mouais, déjà ce n'était pas sûre qu'elle tolérerait la présence de la fillette dans leur chambre alors il valait mieux ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué...

Moi et Danaïde poirotions devant la porte de l'auberge du grand maronnier. Ce n'était pas la première fois qu'on se voyait depuis notre rencontre dans la forêt lugubre, et on commençait à bien se connaître. Le seul ennui, c'est que toutes nos expeditions jusqu'ici avait été secrète, car nous n'étions pas sûre que nous avions vraiment le droit de nous fréquenter. C'était la première fois qu'on se rencontrait dans un endroit public. Ce petit village en terre neutre, et plus précisément, cette auberge. Pour tout dire, j'hésitais à entrer. Soudain, je sentis entre les pensées dans lesquelles mon esprit baignait, un esprit singulier. Pour que je l,ai remarqué, ce devait ê^tre une conscience bien spéciale, ou que je connaissais. Je me concentrai sur les pensées de cet être et j'ouvris de grands yeux.
- C'est Mary-Anne, elle est là-dedans. Murmurai-je à Danaïde.
Un sourire diabolique fendit mon visage et je poussai la lourde porte de bois pour entrer dans la chaleur conviviale de l'auberge.

J'étais entrée en catimini depuis quelques minutes dans l'auberge du grand maronier, accompagnée de Irisae.

C'était une belle auberge, acceuillante et chaleureuse, entièrement faite de bois rond, avec un balcon en haut, d'où s'ouvraient les portes des chambres, puis un toit cathédrale. Le toit semblait très abrupt. Le plancher, de bois aussi, était très rustique et grinçait souvent. Devant moi se dressaient une douzaine de grandes tables de bois massives, avec des bancs de chaque côté. Le tout était éclairé de dizaines de chandelles, sur des chandeliers muraux.

Il y avait beaucoup de personnes présentement dans l'auberge, et si la petite Mary-Anne n'avait pas été là, le choix de notre prochaine victime aurait sûrement été plus difficile.

Elle était sur une table, au fond de l'auberge, assise avec Luce, qui semblait être sa nouvelle tutrice. Je la voyait pointer dans son menu, elle qui ne savait même pas parler! Hahaha! Quelle imbécile faut-il être pour ne pas connaître le language humain!

Après cet instant moquerie, je me ravisai. Il ne fallait pas oublier ce que mes parents m'avaient appris. Si elle ne savait pas parler, elle avait sûrement d'autres talents, ailleurs...

Pourtant, je ne pouvais me retenir de rire de cette orpheline, sans famille, sans parents, sans toit, sans voix, sans vêtements convenables... Si j'avais été du côté du bien, j'aurais eu pitié, mais mon hérédité du mal me l'en empêchait complètement.

J'étais cachée derrière des sacs de riz, empilés tout près de la porte de la cuisine. J'observais toujours Mary-Anne et dans ma tête, je préparais un plan d'attaque. Mes pouvoirs étaient peut-être primaires, mais ma volonté d'apprendre était inébranlable. Je savais que la mezzanine était un bon endroit pour attaquer, sans se faire voir. Le seul hic: Y monter dans se faire remarquer. Donnant un coup d'épaule à Irisae (qui avait déjà compris mon intention, elle qui sait lire dans les pensées) je me dirigeai subtilement vers l'escalier .

Moi et Danaïde étions maintenant tapis au-dessus de la table de Mary-Anne, dans la mezzanine. Derrière nous, un couloir s'ouvrait sur les chambres, et à cet heure, personne ne nous dérangerait. Mary-Anne était en train de manger son sandwich au jambon à grande bouchée.

En face d'elle, un drôle de fille était assise. Une femme plutôt, jeune et petite avec des cheveux noirs et des vêtements colorés un peu loufoques. Elle avait un sourire qui révélait immédiatement qu'elle appartenait au bien et son aura puissante m'apprit même qu'elle était une déesse: Luce Appoline, la déesse de la lumière.

Mais qu'est-ce qu'elle faisait avec une petite mendiante comme Mary-Anne ?Mystère... J'essayai de percer ses pensées, mais comme il s'agissait d'une déesse, ce n'était pas rien et je laissai tomber: ça me donnait mal à la tête. je m'intéressai plutôt à Mary-Anne.
Je fis un clin d'oeil à Danaïde et je me requroquevillai derrière la rambarde de la mezzanine, de façon à ce qu'on ne puisse pas me voir d'en bas. Puis, je me concentrai sur l'esprit de la petite fille.

Bon apparament, elle était seulement très contente de manger son sandwich pour l'instant, et cette Luce Apolline semblait sa protectrice. Je commençai à m'infiltrer dans ses pensées:
" Salut Mary-Anne... Alors, Kiko va bien? Ma parole, on dirait que c'est la première fois que tu manges une sandwich! C'est presque un miracle que tu ais enfin trouver quelqu'un pour t'aimer... Tu es tellement sale, je sens ton odeur d'ici! Pouah! Petite mendiante misérable... "
Et dire que cette petite sotte ne pouvait même pas se plaindre, c'était trop drôle!

Derrière la rambarde de la mezzanine, j'espionnais toujours la petite Mary-Anne. Irisae était à côté de moi, et à la voir si concentrée, je compris immédiatement qu'elle sondait l'esprit de l'orpheline. Moi j'attendais, mais j'avais hâte de passer à l'attaque.

Malheureusement, mes pouvoirs étaient limités, mais je m'était entraînée un peu et je pouvais maintenant lancer des étincelles et donner des petits chocs électriques, sans l'intermédiare de la matière. Donc, théoriquement, si je visais bien, Mary-Anne pourrait recevoir mes petites attaques assez facilement. En plus, mes étincelles flamberaient, à cause du frottement de l'air durant la descente. Au lieu de recevoir de petites étincelles, Mary-Anne aurait droit à des trainées de feu, en plus des chocs électriques... Et elle ne sauarit même pas de où ils viendraient!

Hahaha! Déjà à l'âge de 7 ans, je sentais entrer et moi une rage démoniaque, qu'on sent ardement à l'approche d'un meutre, où dans mon cas, d'un simple mauvais coup. L'énergie du mal passait à travers mon corps.

Je levai donc ma main au-dessus de la rambarde et visai l'idiote assise en bas. Des étincelles jaillirent. Je les controlai de mon mieux pour qu'elles arrivent sur la tête de Mary-Anne, et que ses cheveux tous sales commencent à flamber. Oh, essai raté. Les étincelles s'éteignirent au milieu de leur descente. J'essayai une deuxième, puis une troisième fois, avant que mes étincelles touchent Mary-Anne. AH, AH! Touchée, flambée! Enfin, je l'espère...

[Désolée du retard !]

Luce leva un sourcil interrogateur en voyant que Mary s'était soudain arrêtée de manger. La petite jetait des coups d'oeil autour d'elle comme si elle cherchait quelqu'un d'invisible. Puis elle s'immobilisa mais ne reprit pas son sandwich. Peut-être... Peut-être qu'elle parlait à quelqu'un par télépathie ? Mais qui ? La conversation avait l'air plutôt désagréable. Alors qu'elle se concentrait, en vain, pour chercher à détecter une aura quelconque, elle sentit que quelqu'un avait essayé de forcer la barrière mentale entourant son esprit. Et il devait sûrement être reparti avec une bonne migraine. Cela voulait dire qu'il s'en prenait à sa protégée maintenant ? Mais comment lutter contre un ennemi si on ne sait pas où il se trouve ?

« Qu'est-ce que ?... »

La jeune femme s'apprêtait à demander à Mary si elle pouvait lui montrer où se cachait cette présence indésirable quand des étincelles jaillirent et menacèrent d'enflammer la chevelure de la fillette. Mais le bras de la déesse fut plus rapide que le feu et elle versa son verre d'eau sur la tête de la petite. Bon, elle était mouillée mais toujours entière. Mais ce n'était pas pour autant que Luce allait laisser faire ça... En voyant la trajectoire des étincelles, elle put déduire où se trouvait l'assaillant. Qui cela pouvait-il bien être ?

Elle se leva précipitamment et vit que ce n'était pas une, mais deux personnes, deux petites filles qui s'amusait à tourmenter sa protégée. Danaïde et Irisae... Elle voulait donc s'amuser... Qui rira bien qui rira le dernier ! Dommage pour elles, Luce était bel et bien décidé à user de la force s'il le fallait pour protéger Mary. Un halo de lumière se mit immédiatement à briller autour d'elle à cause de son manque de contrôle sur son aura. Elle prit la fillette qui l'accompagnait par la main et la fit se lever pour la placer près d'elle. Sans quitter des yeux les deux pestes, elle dit d'une voix douce à la petite orpheline.

« Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer. Reste près de moi. »

La déesse de la lumière s'était levée. Hé hé, alors, là on commençait à s'amuser vraiment! Si elle pensait qu'elle me faisait peur avec ses grands airs de protectrice, et bien, elle allait comprendre son erreur...

Je tendis la mains vers la table et toute la nourriture se changea en bloc de glace. Les verres gelèrent à leur tour et éclatèrent dans un fracas de vitres brisés. Tout en utilisant mon pouvoir sur la glace, je continuais de tourmenter Mary-Anne mentalement.

** Alors, sale petite loque pouilleuse, pas capable de te défendre seule? Tu n'es qu'une lâche doublée d'une incapable. Je comprends que tes parents t'aient abandonné, à leurs place j'aurais fais la même chose! C'était tout ce que tu méritais! Approche encore un peu, tu vas comprendre ta douleur!**

Je prévins mentalement Danaïde que j'allais mettre en oeuvre l'une de nos attaques préférés. Je tendis la main vers le plafond de l'auberge et de long glaçons se formèrent immédiatement sur les poutres de bois, juste au-dessus des têtes de la fillette et sa protectrice... long, effilé, mortelle.

Danaïde savait ce qu'elle avait à faire, moi, je devais me concentrer sur notre défense... Ça allait barder...

Luce et Mary-Anne s'étaient levées. J'étais toujours en haut, à côté de la rambarde de la mezzanine. Je voyait les longs glaçons qui pendaient au plafond. Un petit choc et hop! Ou plutôt boum, crash, ça tomberais sur Mary-Anne! Hihihi! D'un coup de poignet, j'envoyais un choc électrique vers la base des glaçons.

Je ne puis pas voir la suite, car c'est comme si j'avais été téléportée dans un océan. L'eau ne me faisait pas peur, mais je ne pourrais pas respirer bien longtemps, et dans l'eau mes pouvoirs ne seraient d'aucune utilité.

Je tentais donc de rejoindre la surface le plus vite possible, en tentant de ne pas m'affoler, ce qui était presque impossible. Étrangement, je n'avais pas froid dans l'eau, et je respirais normalement. Alors que je nageai, je ne sentais pas la friction de l'eau sur mon corps. Un instant, je crus au pire: m'avait-on transformé en quelque bête aquatique, m'avait-on convertit en membre de l'eau, M'avait-on exclu du clan du feu? Toutes ses questions attirèrent mon attention, et je perdis le contact de la réalité.

Mais tout à coup, l'eau qui m'entoura commença à s'évaporer. L'eau ne s'évapore PAS dans la mer! J'avais été dupée, sûrement pas cette peste de Mary-Anne! ARRGG! Je l'avais sous-estimée, elle était capable de se défendre!

J'étais sortie de mon esprit, de retour dans l'auberge du grand maronier. Dans un accès de rage, je me concentrai vers la fille maudite. L'adrénaline me donnait du pouvoir, et c'est avec fureur que j'expédiai trois boules enflammées vers elle.

J'avais dû manquer un bout du combat, car Mary-Anne et Luce n'étaient plus au même endroit qu'avant mon séjour dans l'océan...

[Faites pas attention pour les rimes, un pari stupide avec Kan' et Hoshi ^_^'']

Les deux pestes ne se laissèrent pas démonter
Et recommencèrent aussitôt à attaquer.
C'était Irisae en fait :
Elle créait des pics de glace au dessus de leurs têtes
Mais la Déesse de la Lumière et ses talents
Les firent fondre en un instant.

Si Mary Anne était chassé derrière Luce
Elle se défendait bien, la petite puce.
Enfin, c'est ce qu'elle crut deviner...
Elle avait du pénétrer dans ses pensées.
Ainsi tel était son pouvoir...
La déesse était frustrée de ne pas le voir
Comme si une partie du combat lui échappait
Mais ce n'était pas grave, elle constatait les effets !

En effet Danaïde semblait sans défense
Comme plongée dans une étrange transe.
Luce retint un sourire interrogateur :
Peut-être ce pouvoir lui avait-il causé du malheur...
Chez Mary Anne qui n'était qu'un enfant
Il pouvait facilement paraître effrayant
Ce n'était hélas pas rare
Que des parents abandonnent leurs enfants sans égards
Tout simplement parce qu'ils avaient peur
D'un enfant qui pourrait leur devenir supérieur.
Ainsi allait le monde,
Dansant cette macabre ronde...

Même si le danger était momentanément écarté
Luce jugea utile de faire un pas de côté
Grand bien lui en prit, puisque rapidement
Des boules de feu s'écrasèrent là où elle se trouvaient à l'instant.
Danaïde avait vite retrouvé ses esprits...
Mais le combat n'était pas fini !

La jeune femme n'aimait pas se battre
Mais aujourd'hui la lutte serait âpre
Elle ne laisserait personne toucher à Mary Anne
Et encore moins ces pestes qui se comportaient comme des ânes ! [dsl pour la comparaison ]
Cependant elle rechignait à les blesser
Mais elle ne pouvait pas se contenter des les éviter !
Un instant l'image de Kanaël blessé s'imposa en elle
Mais elle la chassa bien vite de sa cervelle
Ce n'était pas le moment de penser à lui !
Elle avait déjà assez de soucis...

Elle se contenta de prononcer quelques paroles
Et un mur de lumière s'éleva hors du sol.
Elle ne faisait que gagner du temps
Essayant de leur trouver un châtiment...
Ni trop sévère ni trop gentil
Suffisant puisant pour leur passer l'envie
Pour qu'elles comprennent qu'on ne s'attaquait pas à Mary Anne
Et que cela reste bien gravé dans leurs crânes.

Presque inconsciemment elle forma une boule de lumière
Qu'elle pourrait facilement lancer en un éclair.
Elle préférait en éviter l'utilisation
Mais elle ferait feu en cas d'obligation...

J'étais en train de rassembler mes forces pour créer une défense efficace contre la lumìère de Luce, lorsque cela se produisit. Je me retrouvai dans les flammes, en train de brûler vivante. Mais qu'est-ce que je racontais, je ne brûlais pas! J'étais totalement désorientée. Où étais passé l'auberge, Dana, Mary-Anne, Luce? Par habitude, je cherchai d'autres esprits autour de moi. Je captai celui de Mary-Anne et y vit ce qu'elle était en train de faire. Je compris,ce bucher n'était qu'une illusion! Je m'étais laissée bornée. À la minute où je réalisais cela, j'étais de retour dans la réalité.

Luce, en bas de l'escalier de la mezzanine, avait créé un mur de lumière protecteur, derrière lequel elle et Mary-Anne se terraient. Il allait falloir jouer serré.
" Voici le plan, dis-je à Dana, j'attire leur attention ici, tandis que tu te faufiles derrière leur protection pour les attaquer..."

Sans attendre sa réponse, je créer un énorme jet de glace, qui fusa directement vers le mur de lumière. Avant de pouvoir voir s'il atteignait sa cible, je me jetai au sol pour éviter la boule de lumière qui ne manquerait pas d'arriver en riposte. Autour de nous, je pouvais sentir la confusion des clients et de l'aubergiste, qui se demandaient si ils devaient intervenir. Je ricanai sous cape. Génial!

Mary regarda les jeunes filles en haut. Il parait que son pouvoir avait marché! Elle n'essaya pas encore de les attanquer. Elle attenda. Luce crea un mur de lumiere protecteur au quel Mary se refugia en arriere. Elle voulait dire a la déesse que s'etais peut etre le temps de sortir de la. Mais elle ne voulait pas commencer maintenant a parler. Donc elle ferma les yeux et une idee frappa ses pensées.

Elle regarda Irisae et commenca a penser comme si elle avait oublie qu'Irisae pouvait lire dans les pensées.

* Arh, je commence a etre fatiguée. Qu'est que je peut faire pour sortir d'ici? Ben, rien. Je Sais!!! Moi et la déesse on peut sortir par la porte d'arriere comme les deux filles en haut sont en train de regarder la porte d'avant.*

Pendant qu'elle pensais, elle envoya une illusion a Luce pour expliquer qu'elle etait son idée. Et Irisae ne la pouvait pas lire, car s'etait dans les pensées de Luce puis la jeune déesse pouvait bloquer l'access..

Mary etaient en train de regarder les jeunes filles. Mary envoya une pensée a Irisae pour que celle ci pense qu'elles allaient sortir par la porte d'arriere. Les deux jeunes filles firent attention avec la porte d'arriere. Mary regarda la déesse et envoya deux autres illusions aux jeunes filles pour gagner du temps. Pendant qu'elles etaient perdues dans leurs pensées, Mary et Luce sortirent de l'Auberge par la porte d'avant pour aller ou Luce voulait.

Mary regarda Luce pour savoir si celle ci comprennait son idee et si elle voulait faire comme ca...

(jespere que vous avez compris mon idee^^, italique ses les illusions que j ai envoye a Luce^^)

J'étais décidément enragée! Au début, les cheveux de Mary-Anne n'avaient pas flambé, les glaçons d'Irisae n'avaient pas tombé sur la tête de la vieille guenille, mes boules de feu avaient manqué leur cible... C'était défaite après défaite. Au contraire, nos ennemies s'en tiraient très bien; Mary-Anne avait su tenir tête à ma meilleure amie tandis qu'elle prétendait faire pitié et être sans défense, elle nous avait bornée avec ses illusions, Luce avait su créer un dome de lumière protecteur, elle avait fait fondre les glaçons... Ça ne pouvait pas continuer de telle sorte. Étant donné que j'étais mauvaise perdante, et que mon humeur avait littéralement chuté, mes forces étaient décuplées. On aurait dit que la force du mal me donnait de l'énergie, c'était comme une sorte d'adrénaline.

Devant moi, je voyais le mur de lumière translucide, mais très brillant et lumineux, et derrière, nos ennemies semblaient préparer quelque chose. Sans attendre, je fis comme Irisae m'avait demandé. Glissant sur la rampe de bois, je me précipitai vers Luce et Mary-Anne. En courant, je ramassai un chandelier. Rapidement, je fis une roulade avant et utilisai mes pouvoirs pour créer une brèche à travers le bouclier.

J'étais maintenant tout près de Mary-Anne. Je jubilais! Avant que la déesse et sa protégée disparaissent, j'eu le temps de brûler sévèrement le bras de Mary-Anne. Je lancai un dernier regard mauvais à celle que j'avais toujours détestée.

Sans aucune raison apparente, Mary-Anne et la déesse se volatilisèrent. Je les vis s'échapper par la porte arrière. Dans ma tête, toutes ces images s'assemblèrent. Je n'avais beau pas avoir un esprit très scientifique, mais si mes ennemies étaient ici il y a à peine une seconde, elles ne pouvaient pas être en train de sortir de l'auberge par la porte arrière. ARG! Cette Mary-Anne ne m'aura pas deux fois! Je chassai la pensée de mon esprit et partis à la poursuite de la fillette.

Luce avait tout de suite compris
L'idée que Mary Anne lui avait soumis.
Elle approuva d'un signe de tête
Tout en pensant que leurs adversaires n'étaient pas si bêtes :
Elles ne s'y laisserai pas prendre à deux fois
Et les illusions ne marcheraient pas.

Elle n'eut pas le temps de prolonger sa réflexion :
Un jet d'eau arrivait dans leur direction.
Il ricocha sur le mur de lumière,
Mais c'était une diversion et il fit l'affaire :
Danaïde réussit à percer leur défense
Et une brûlure au bras de Mary fut sa récompense.
Luce retint un juron
Énervée par sa propre inattention
Elle lança l'arme la boule de lumière qu'elle avait préparée,
Mais Irisae s'était déjà baissée.
De toute façon elle ne voulait pas la blesser
Peut-être espérait-elle au moins l'effrayer...
Par contre pour Mary elle ne pouvait pas réagir :
Seul sur elle-même fonctionnait son pouvoir de guérir.

La fillette lança quand même son illusion
Mais Danaïde ne sembla pas y porter attention.
Alors que Luce et Mary se dirigeait vers l'entrée
Elle semblait de nouveau prête à les attaquer.
La déesse eut soudain une idée ;
Elle attrapa le bras de la petite et commença à se concentrer.
Un instant plus tard elles étaient invisible
Et dès lors de nouveau plans devinrent possibles.
Mais solliciter un peu plus ses pouvoirs,
Car cacher deux personnes était plus difficile qu'on ne pouvait le croire,
Finit d'affecter son apparence physique
Et elle vieillit en moins de temps qu'il n'en faut pour écraser un moustique.
Personne ne devait s'en était aperçu
Mais quand elle serait réapparue...
Elle ne se posa pas d'avantage de question
Et de ses adversaires elle attendit la réaction
Face à leur disparition

['A y est ! J'ai changé mon ava !]

La réplique à mon jet arriva aussitôt, une boule de lumière qui fit un beau trou dans la rambarde. Heureusement, je m'étais baissée à temps et je n'eus que les cheveux un peu roussit... De toute façon le but était atteint, Danaïde avait percé les défenses de Luce et réussi à brûler Mary-Anne au bras. Ensuite, ce qui se passa fut assez flou. Je vis Luce et Mary-Anne tenter de sortir de l'auberge, mais Dana ne semblait pas leur prêter attention. Cela me mit la puce à l'oreille. Après vérification, mon intuition se confirma, c'était des illusions, ils n'avaient aucunes pensées...

Je sorti de ma cachette et descendit en glissant sur la rampe, je n'étais plus d'aucune utilité sur mon perchoir. Arrivée en bas, je rejoigni Dana et cherchai nos victimes. Elles semblaient s'être évaporées, mais je repérai bien vite les pensées pleurnichardes de la petite Mary-Anne.

" Par ici, criai-je à Danaïde en m'élançant derrière elles."

Je les rattrapai, et, à tâton, saisit le bras de Mary-Anne qui était toujours invisible. Elle avait goùté au feu de ma complice, et bien, elle allait maintenat goûter au gel.

Je me concentrai, envoyant tout mon pouvoir sur la glace dans mas mains qui devinrent d'un froid mortel. Je tenais le bras de ma jeune victime bien serré, déterminé à ne pas la laisser s'échapper. Bientôt commncerait à bleuir et plus je tiendrais longtemps, plus l'engelure s'aggraverait.

( c'est un peu bizzard, au début, mais ton nouvel avatar est bien^^ Faudra aussi changer ta signature, j'imagine)

( hum!..............................................................)

Mary regarda Luce qui se battait avec les filletes. Mais elles etaient encore intactes. Par contre, Mary avait recu une brûlure dans le bras. Elle cria, tant qu’etaient les douleurs, puis se tut. Elle ne voulait pas avoir l’apparence fragile! Elle ne l’etait pas! Mais les douleurs ne s’arretent pas. Elle remarqua que dans l'auberge, tous les gens qui etaient la, les regardaient. Mais Mary s'en foutais. Le plus important c'etais de gagner cette bataille meme si elle detestait se battre. Mais c'etais bon pour elle, car, ici, elle commenca a controler de mieux en mieux ses pourvoirs. Mais juste de ses pensées car elle ne savait pas encore faire des illusions reelles. Elle avait trop peur que ses illusions l'attaquent a elle.
Luce l’attrapa par le bras puis elles etaient invisibles. Mais quelque chose l’attrapa meme si elle etait invisible. Elle remarqua que c’etais Irisae. Son bras est commencé devenir de plus en plus froid. Mary conclut que c’etais l’heure d’utiliser une fois de plus ses pouvoirs. Elle ferma les yeux et commenca a penser au feu.. Le bras a Mary est devenu chaud puis la main a Irisae est devenue deux fois plus chaude. Elles restent comme ca et Mary attenda jusqu'à qu’Irisae lacha le bras de Mary. Mary fesait l’effort, toujours avec les yeux fermés, de rechauffer la main d’Irisae jusqu'à que celle ci lacha son bras.

(Desole si je suis lente, mais j'etais un peu occuppée cette semaine... puis desole aussi si le poste est petit mais... manque d'inspiration... j'ai pas encore trouve ma muse.. ou mon...lool)

L'atmosphère dans l'auberge était démente. Les gens qui s'y trouvaient étaient horrifiés. La scène qui s'y déroulait était très extravagante: Une femme qui disparait d'un seul coup, trois fillettes qui se battent...

Je sentais que j'allais m'évanouir. Lentement, mes forces me quittaient, un voile se formait devant mes yeux. Autour de moi, formes, couleurs se mélangaient, créant un maelstrom étourdissant. Des images, des illusions se fusionaient, dessinant un tableau étrange et incongru. J'avais chaud, et froid à la fois. Mes pensées se mêlaient, je revoyais des évènements de ma vie, des mauvais coups commis dans mon passé. Ma tête me tournaient, j'étais débousolée... Ou suis-je? Qui suis-je? Je n'avait même plus la force de penser, et même si j'avais voulu, mon cerveau était bloqué, il ne répondait plus. Luttant contre l'épuisement, je jetai un regard autour de moi: Une femme courait vers la porte de sortie traînant derrière elle une fillette, un toutou dans ses bras. Elles étaient poursuivies par une autre gamine, aux cheveux argentés. Tout à coup, ils disparurent. La scène se brouilla complètement. Mes genoux fléchirent, mes paupières tombèrent, je tombai par terre. Plus de couleurs, plus de son, plus d'odeurs, plus rien. Toutes mes forces m'avaient quittées.

Il y eu une explosion. La provenance semblait être une jeune fille qui gisait une beau milieu de l'auberge. Il y eu des éclairs de feu un peu partout dans la grande salle de l'auberge. Des boules enflammées jaillirent de tous les côtés. L'une d'elles failli toucher une petite fille, mais s'attaqua plutôt à sa peluche.

Apparemment, le subterfuge de Luce et de Mary Anne n'avait pas fait illusion bien longtemps. C'est qu'elle était maligne, cette petite peste d'Irisae...Celle-ci les repéra, sans doute grâce à leurs pensées et attrapa le bras de la protégée de la déesse. Cette dernière, occupée à vérifier que le « public » restait en sécurité, ne réagit pas tout de suite. Quand elle se retourna, les deux fillettes semblaient lutter dans un duel de pouvoir. Qui avait le dessus ? C'était difficile à dire... Apparemment Irisae tentait de geler le bras de Mary qui ripostait avec une sorte d'illusion.

Luce ne réfléchit pas une seconde à son geste. Sa main partit tout droit en direction de la tête de la gamine en une gifle monumentale. Elle en avait assez de cette compétition stupide de pouvoir. De toute façon, elle était plus forte, elle le savait. Alors autant revenir au bonnes vieilles méthodes ! En tout cas, le bras de Mary était libre maintenant. Elles pouvaient s'en aller et tout s'arrêterait là, pour l'instant en tout cas...

Mais Luce aperçut le corps inanimé de Danaïde un peu plus loin. Elle n'était que tombée dans les pommes mais... Et voilà que des flammes jaillissait d'elle maintenant ! En moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire, la déesse se plaça devant sa protégée et créa un nouveau mur de lumière. Enfin pas tout à fait assez vite... La peluche de Mary avait perdu une oreille... Mais elles étaient toutes les deux saines et sauves.

Par contre, elle avait décidé de ne pas en rester là. Danaïde était sans connaissance à cause de leurs bêtises de gamine. Mary avait faillit mourir. Luce allait mettre un peu de plomb dans la cervelle d'Irisae, histoire que ce genre d'incident ne se reproduise plus... Ah ces mômes, qu'est ce qu'il ne lui ferait pas faire ! Cela ne lui faisait pas plaisir de s'en prendre à une gamine, mais elle ne lui laissait pas le choix.

Elle lança donc une boule de lumière aveuglante dans la direction de la petite fille tandis qu'elle protégeait les yeux de Mary de sa main libre. Sachant qu'elle ne pourrait pas détecter ses pensées, Luce disparut bien qu'Irisae n'aurait sans doute pas pu la voir avec la lumière qu'elle evnait de recevoir. Elle s'approcha donc et tenta une prise de corps à corps pour mettre son adversaire à terre tout en se rendant de nouveau visible.

« C'est pas un peu bientôt fini tes conneries ? T'as vu ce que tu as fait à Danaïde ? »

Bien sûr, ce n'était pas uniquement la faute de la petite. Mais Luce, sous l'effet de la colère, faisait quelques raccourcis...

[Pas terrible... Mais j'ai la musique de merde de mon cousin à fond dans les oreilles, ça m'empêche de me concentrer -_- Désolée !]

( Moi, je trouve ça super! Mais franchement, qu'est-ce que j'ai fait moi... Pourquoi c'est tout de ma faute...? pauvre petite moi mal-aimée... )

Je combattais férocement avec Mary-Anne, luttant pour tenir son bras qui devenait de plus en plus chaud malgré tous mes efforts. J'étais plus grande qu'elle et j'avais une meilleure maitrise de mes pouvoirs mais je sentais que je devrais bientôt lâché prise lorsque je vis Luce se diriger vers moi et...

Une gifle magistrale m'atteignit sur le côté de la tête et m'assoma à moitié. Je lâchai aussitôt prise, sonnée. Je ne voulais pas comprendre ce qui venait d'arriver. Non, ça ne s'était pas vraiment passé comme ça...

Je me rendis compte que j'étais restée assise sur le sol et me relevai. Mon visage me brûlait, et pas seulement à cause de la taloche, la honte m'empourprait les joues aussi bien que la rage. Je dégainai discrètement la dague attaché à ma cheville.

C'est alors que je m'aperçu que Danaïde n'était plus là. Je la cherchai des yeux et l'aperçut, étendue au sol, immobile. Mon sang se glaça. L'instant d'après, des boules de feux fusèrent et j'eu tout juste le temps de me jeter à terre. L'une d'elle me frôla de près mais pris plutôt pour cible le toutou de Mary-Anne. J'attendis à peine que l'esplosion soit fini et je couru vers Danaïde de toute mes forces. Que lui était-il arrivé? Qu'est-ce que cette maudite déesse lui avait fait? Je ne percevais plus ses pensées familières... si jamais...
Cette Luce me le paierait!

Soudainement, un gros homme se mit en travers de mon chemin, les bras ouverts pour m'empêcher de passer.

- Mademoiselle... commença l'aubergiste.

- Tasse-toi gros tas de lard!

J'avais encore ma dague à la main. Je ne réfléchis pas un instant, je frappai. Une, puis deux fois. Ma rage décuplait mes forces et je la déversais à travers mon arme. Finalement, l'homme s'effondra. J'espérai que je l'avais tué. Le chemin était libre. Je continuai ma course, lorsqu'une boule de lumière me frappa dans le dos et explosa en un éclair aveuglant. Éblouie, je ne vis plus rien pour quelques secondes. Ma vue commençait à revenir lorsque je sentis un poids se jeter sur moi et me plaquer à terre. À la voix qui me criait des récriminations, je reconnus Luce Apolline. Quoi? elle m'accusait de faire du mal à Danaïde? Ça m'enragea encore plus et je me tortillai pour me dégager tout en tentant de la frapper à coups de dague. Elle me faisait mal. Je luttais pour retenir mes larmes qui formaient une grosse boule dans ma gorge. Pourquoi tout tournait-il si mal. Je voulais aller voir Dana, elle avait besoin de mon aide...
Je ne devais pas l'abandonner maintenant, je ne me le pardonnerais jamais!

- Lâche moi sale déesse! Lâche-moi ou tu le regretteras! Va plutôt voir ton aubergiste qui saigne comme un porc égorgé! J'espère qu'il crevera!"Criai-je rageusement. je n'arrivais plus à retenir mes larmes et elle coulaient, brûlantes, sur mes joues.

Je continuai de me débattre et à insulter mon assaillante de tous les noms que je connaisais. Mais intérieurement, je désespèrais. Danaïde, qu'avait-elle? Son esprit laissait un grand vide qui me faisait peur... Désespérée, je l'appelai, en espèrant qu'elle m'entende, où qu'elle soit.

"Danaaa... Dana où es-tu? Ne me laisse pas seule!"

(Desoléeeee pour le temps que jai pris a repondre sorrryyy _ _")

Soudain, je me réveillai de cette torpeur qui m'avait paru duré des siècles. Lentement, je le levai, m'accotant sur mon coude, encore douloureux. Je jetai un regard circulaire autour de moi, scrutant chaque détail du paysage.

J'étais assise au sommet d'une colline verdoyante, parsemée de boutons d'or. Un étroit sentier de pierres aux reflets argentés descendait en pente douce et régulière sur le flanc de la colline vers un forum de marbre, légèrement en ruines. Derrière le momument se dressait une ville fantastique, qui défiait les lois de la physique. Des tours multicolores, hautes de quelques kilomètres allaient se perdrent dans les nuages. C'est mêmes nuages étaient bien étranges. Ils étaient fabriqués de verre et contenait de petits insectes, pareils à des lucioles, qui illuminaient les environs. Le ciel était couleur crème. Une douce mélodie jouait en permanance et semblait émaner de chaque objet. De l'autre côté de la colline, serpentait une rivière glacée, qui descendait joyeusment jusqu'à la mer infinie, située plus bas. Ce décor était tout simplement enchanteur, j'aurait pu me croire au paradis. Paradis?
C'est à cette pensée que me revinrent peu à peu mes souvenirs. L'auberge du grand maronier, Mary-Anne, Luce et Irisae, les boules de feu, de lumière, les illusions...
"Danaaa... Dana où es-tu? Ne me laisse pas seule!" Mais c'était la voix de Irisae! Où est-elle, où suis-je?
Les souvenirs émergeaient un à un dans mon esprit et à chaque fois, me faisaient l'effet d'une aiguille plantée dans ma chair, chaque souvenir me faisait découvrir peu à peu la vérité si horrible. La mort. Un flot de questions sans réponse s'abbatit sur moi. Pourquoi suis-je au Paradis alors que j'aurais du être en...enfer? Pourquoi suis-je morte? Pourquoi personne n'a voulu me sauver?

Tout à coup, le paysage autour de moi s'assombrit. Tout les objets commencèrent à fondre sous mes yeux, les couleurs perdirent leur éclat, les fleurs fannèrent, la lumière disparut, la musique stoppa net, bref, tout devint noir, sans vie, comme la période que je venait de quitter.

Mon cerveau tournant à 100 miles à l'heure, je comprit enfin. Ce moment obscur signifait la limite entre la vie et la mort, le néant, que l'on ne pouvais classer. Cette période de transition, que certains appellent coma. C'est ce que je vivais.

Émergeant doucement de ce sommeil macabre, je me retrouvai dans l'auberge du grand maronier. Pourtant, mon corps ne me parut pas familier. J'avais une odeur d'animal, une fourrure couleur argent et épaisse, des crocs puissants, des griffes tranchantes, j'étais...loup.

Cette partie de moi avait réussit à survivre, elle avait été mon ultime espoir pour revenir à la vie. Je prit un instant pour m'habituer à ce nouveau corps et passait à l'attaque. Irisae et Luce s'offraient un duel mortel. Il fallait mettre fin à ce chaos infernal, ça avait duré trop longtemps. Je bondis rageusement vers Luce, montrant mes crocs féroces et embarquai sans ménagment Irisae sur mon dos. J'effectuai un petit détour pour récupérer mon corps et je courut jusqu'à la porte entrouverte.